Innovation pour le traitement de l'épilepsie chez les personnes souffrant de déficience intellectuelle
Innovation pour le traitement de l’épilepsie chez les personnes souffrant de déficience intellectuelle
Publié par SchwoobAline le samedi 14 juin 2025
L’épilepsie est un trouble neurologique qui affecte près de 1% de la population générale, et environ 25 % des personnes souffrant de déficience intellectuelle. Son traitement repose généralement sur la prise de médicaments antiépileptiques, qui servent à réguler l’activité électrique du cerveau pour éviter le déclenchement de nouvelles crises d’épilepsie, ou pour en atténuer les symptômes. Cependant, dans un tiers des cas, le traitement est inefficace. L’épilepsie dite pharmacorésistante (résistante aux médicaments) est encore plus fréquente chez les personnes avec déficience intellectuelle et concerne deux tiers des patients.
Pour ces derniers, un espoir se dessine grâce à une thérapie innovante : la neurostimulation. Elle nécessite l’implantation sous la clavicule d’un appareil semblable à un “pacemaker”, qui va délivrer des impulsions électriques dans des zones précises sous le cuir chevelu. Les études révèlent que cette stimulation électrique parvient à réduire de plus de la moitié le nombre de crises épileptiques par mois.
Le laboratoire ICube (Université de Strasbourg et CNRS) et ses partenaires souhaitent rendre cette technique encore plus performante, en développant des systèmes de stimulation cérébrale personnalisée guidés par l’imagerie (IRM et électroencéphalogramme), afin d’offrir aux patients des traitements sur mesure.
Le projet IMAGINE-STIM constitue un premier pas vers un projet médical et social de grande envergure. Il vise à créer des synergies entre des centres d’excellence spécialisés dans le traitement de l’épilepsie et dans l’imagerie pour établir un réseau de soins transfrontalier, dans le but de dispenser des traitements personnalisés plus efficaces et peu invasifs à une population vulnérable, souffrant à la fois d’épilepsie et de déficience intellectuelle. Le transfert de connaissances a également vocation à s’étendre aux associations de patients et d’aidants, grâce à la mise en place d’un vidéo-forum, afin d’offrir une meilleure compréhension de ces nouvelles avancées thérapeutiques.
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L’automatisation au service d’analyses plus fiables pour des traitements plus efficaces
Publié par SchwoobAline le samedi 14 juin 2025
Rendre l’analyse métabolomique plus fiable en automatisant la préparation des échantillons sur des puces microfluidiques
La recherche médicale a mis en évidence des limites majeures des traitements médicamenteux : inefficacité chez 30 à 60 % des patients et effets secondaires dans 30 % des cas. Pour surmonter ces obstacles, il est crucial de mieux comprendre l’état de santé des patients et leurs réactions aux médicaments, afin de pouvoir proposer des traitements personnalisés plus efficaces.
C’est ce que permet l’analyse métabolomique, un outil récent de la biologie moléculaire et médicale. En examinant les métabolites, ces petites molécules impliquées dans toutes les réactions chimiques qui ont lieu dans l’organisme, il est possible d’obtenir une vue d’ensemble de l’état de santé d’un individu en temps réel. Cependant, l’analyse métabolomique nécessite une étape cruciale de préparation des échantillons, réalisée par des techniciens de laboratoire, et ces processus manuels sont sujets à des erreurs humaines qui peuvent compromettre la fiabilité des résultats.
L’Université de Fribourg et ses partenaires développent une solution innovante qui promet de transformer fondamentalement cette étape essentielle : la préparation automatisée d’échantillons sur une puce microfluidique. Cette technologie repose sur l’utilisation de dispositifs miniaturisés capables de traiter de très petits volumes de liquide (sang ou liquide céphalorachidien, par exemple). Le principe est simple : l’échantillon à analyser est automatiquement acheminé à travers un réseau de microcanaux à l’intérieur de la puce, où diverses étapes de préparation sont effectuées automatiquement.
Le projet bénéficiera de l’expertise des partenaires suisses dans le domaine de l’analyse métabolomique et des compétences des partenaires allemands dans la préparation d’échantillons microfluidiques. D’ici trois ans, les puces microfluidiques en cours de développement devraient permettre d’améliorer significativement la préparation des échantillons de patients pour l’analyse métabolomique par rapport aux méthodes actuelles. À l’avenir, cette technologie pourrait être largement utilisée, notamment dans la région transfrontalière, par exemple par des laboratoires de diagnostic ou des hôpitaux universitaires. Cette innovation constitue une étape importante pour rendre la médecine personnalisée plus accessible.
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Une avancée prometteuse pour la médecine avec de nouveaux moyens pour remplacer les tissus humains endommagés
Publié par SchwoobAline le samedi 14 juin 2025
Des biomatériaux naturels conçus par auto-assemblage de protéines pour révolutionner la reconstruction osseuse et cartilagineuse
La réparation des lésions osseuses et cartilagineuses constitue un défi majeur en médecine. Actuellement, les matériaux de remplacement des tissus lésés utilisés présentent des inconvénients majeurs, tels qu’une solidité insuffisante, des variations de qualité entre les lots, ou encore des difficultés d’approvisionnement. De plus, pour certaines lésions spécifiques comme celles liées à une trachéotomie (ouverture dans la trachée pour faciliter la respiration) réalisée suite à un cancer ORL, il n’existe pas encore de substituts adaptés.
Une solution novatrice pourrait changer la donne. Celle-ci réside dans l’utilisation de biomatériaux 100% naturels composés de deux protéines (l’albumine et le collagène) créés par auto-assemblage. Ils pourront servir à fabriquer des substituts trachéo-laryngés, et des greffons de phalanges pédiatriques pour traiter la symbrachydactylie (une pathologie rare qui affecte le développement des mains et se caractérise par des doigts courts ou absents).
Quatre laboratoires de renom du Rhin Supérieur spécialisés en biomatériaux et bio-ingénierie s’associent pour développer cette technologie innovante, qui ouvre une voie prometteuse pour la médecine régénérative et personnalisée. D’ici trois ans, cette innovation thérapeutique pourrait entrer en essai clinique. Son potentiel à offrir des solutions de remplacement tissulaire plus efficaces et personnalisées ouvre de nouvelles perspectives dans le traitement des lésions osseuses et cartilagineuses, et pourrait améliorer la qualité de vie de nombreux patients. Elle permettra également d’enrichir l’écosystème d’innovation du Rhin Supérieur, en bénéficiant à de nombreuses industries pharmaceutiques et des entreprises de technologies médicales du territoire pour le développement de leurs futurs produits.
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Master trinational « Développement durable de l’entreprise »
Publié par Anne-Sophie Mayer le samedi 14 juin 2025
La transformation digitale des PME est centrale pour leur autonomie stratégique et leur développement économique et industriel. Mais dans un contexte de lutte contre le changement climatique, il faut savoir déployer et piloter les technologies numériques de façon équilibrée, en profitant des solutions qu’elles apportent en termes d’efficacité énergétique. Il faut toutefois éviter de tomber dans un excès qui conduirait à une forte augmentation des émissions de gaz à effet de serre lors du développement de l’entreprise. Or, dans le Rhin supérieur, les entreprises peinent à recruter du personnel qualifié pour les accompagner dans leur développement, particulièrement s’il s’agit de combiner les compétences environnementales, digitales et internationales.
La solution proposée par les trois établissements d’enseignement supérieur partenaires du projet est la création d’un cursus commun de niveau Master, qui permettra de former des étudiants qualifiés, prêts à soutenir la compétitivité des PME et à les accompagner dans l’adaptation aux changements environnementaux et sociétaux et numérique durable.
La première année du projet sera consacrée à la préparation de l’offre de formation. La phase pilote du cursus avec la première promotion d’étudiants débutera quant à elle en septembre 2024.
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Maison de services du Rhin supérieur
Publié par SchwoobAline le samedi 14 juin 2025
Les quatre INFOBEST du Rhin supérieur informent et conseillent le public sur des questions transfrontalières. Ces instances existent du nord au sud de la région depuis plus de 25 ans. Cependant, leurs structures et leurs ressources sont restées inchangées, tandis que les demandes sont de plus en plus nombreuses et complexes, notamment depuis la crise sanitaire. Il est devenu urgent de renforcer les moyens de ce réseau, notamment en matière de dématérialisation. Les différentes administrations ayant dématérialisé leurs procédures, il est de plus en plus difficile de les contacter et de trouver des interlocuteurs dédiés aux questions complexes. Parallèlement, les équipes INFOBEST font face à une surcharge de travail, les empêchant de remplir l’ensemble de leurs missions.
Le projet « INFOBEST 4.0 | Maison de services du Rhin supérieur », vise à redynamiser le réseau INFOBEST, et à rendre son travail plus efficace et plus visible. Les équipes souhaitent rendre leurs services plus accessibles aux publics de manière dématérialisée, pour pouvoir consacrer plus de temps au conseil.
En recrutant des conseillers supplémentaires et en les formant aux procédures administratives dématérialisées, le service public transfrontalier local sera renforcé : il s’agira d’aider les publics au dépôt de demandes en passant par l’INFOBEST comme Guichet Unique, ce qui constitue une nouvelle offre de service pour le réseau INFOBEST actuel. Celui-ci vise aussi à s’adapter à l’ère numérique en remaniant le site internet commun du réseau INFOBEST, et en constituant une base de données partagée ainsi que de nouveaux outils en ligne qui répondront automatiquement aux questions les plus fréquentes du public.
Le projet comporte également un volet important sur la pérennisation de la nouvelle structuration du réseau INFOBEST ; une étude sur le fonctionnement et la pérennisation du réseau sera réalisée, proposant des pistes de réflexions pour le long terme.
Les mesures prises durant les trois années de projet devront permettre de renforcer sur la durée, tant qualitativement que quantitativement, l’activité d’information et de conseil du réseau INFOBEST, pour mieux répondre aux besoins des habitants du bassin de vie transfrontalier du Rhin supérieur.
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CinEuro Film Lab pour les coproductions transfrontalières autour de récits régionaux
Publié par SchwoobAline le samedi 14 juin 2025
Le marché mondial de l’audiovisuel est ultra compétitif ; des productions toujours plus nombreuses font face aux superproductions américaines. L’industrie européenne du cinéma doit redoubler d’efforts pour trouver sa place et proposer à un public international des contenus attractifs et originaux, et ainsi faire rayonner un cinéma de culture européenne.
L’espace transfrontalier du Rhin supérieur et de la Grande Région offre une formidable opportunité à cet égard : il est riche d’histoires, de traditions et d’un patrimoine commun. Pour ces territoires, il s’agit d’attirer les professionnels du cinéma et de l’audiovisuel, et les inciter à s’emparer de récits régionaux.
Le projet CinEuro Film Lab répond ainsi à un double défi : dénicher des contenus à même d’intéresser le grand public international, tout en préservant une signature européenne et en veillant à l’ancrage des productions et de leurs retombées dans les territoires, pour en faire une véritable pépinière de projets régionaux.
C’est en proposant un cadre d’accompagnement unique dédié au développement de tels projets filmiques que le projet CinEuro Film Lab entend apporter une solution à ce défi. Ce cadre se décline en trois phases : inspiration, écriture et accompagnement vers la production.
- En mobilisant différentes sources d’inspiration (historiens, archives, patrimoines, littérature, musées, presse …), la phase d’inspiration doit servir à identifier des sujets inédits, ancrés dans l’espace transfrontalier, et exploitables par des scénaristes et producteurs.
- En organisant des résidences et des ateliers, la phase d’écriture permettra d’accompagner les professionnels dans le développement de scénarios et de projets de coproductions à partir des sujets identifiés précédemment.
- En organisant des rendez-vous de networking, la phase d’accompagnement vers la production créera les rencontres qui permettront aux professionnels de faire produire leurs projets.
À l’issue du projet, de nouveaux films en coproduction auront émergé, dont le tournage et les retombées économiques seront ancrés sur les territoires partenaires. Ces territoires transfrontaliers constitueront alors une véritable vitrine du potentiel créatif et de la variété des sujets d’intérêt qu’ils peuvent offrir à l’industrie du cinéma et de l’audiovisuel
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Master franco-allemand viticulture et œnologie en alternance
Publié par Anne-Sophie Mayer le samedi 14 juin 2025
La filière viticole est un facteur économique et culturel important dans le Rhin supérieur, qui présente des conditions climatiques similaires pour l’ensemble des viticulteurs de la région. Face à une concurrence mondiale, la viticulture rhénane manque de main-d’œuvre qualifiée, ce qui met en péril sa compétitivité et ses capacités à s’adapter changement. Enfin, la numérisation entraîne une pression concurrentielle accrue.
Le master franco-allemand viticulture & œnologie en alternance (MoVE) que propose de créer l’Université de Haute Alsace avec son partenaire le Weincampus Neustatdt, vise à former des étudiants qualifiés, qui pourront à terme accompagner les PME viticoles dans la transition numérique et climatique.
Les études se dérouleront en Allemagne à Neustadt et en France à Colmar, avec une alternance entre phases professionnelles auprès d’entreprises et phases de cours. Le projet prévoit de travailler à la définition de la formation durant la première année du projet, pour faire en sorte que le cursus soit valorisable dans les deux pays. Les premiers étudiants seront recrutés à la rentrée 2024, et pourront bénéficier un réseau d’entreprises mis en place par les partenaires du projet, qui les accueilleront en alternance durant leur parcours.
A l’issue du projet, la première promotion d’étudiants aura obtenu son diplôme, et sera intégrée sur le marché du travail.
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Etude de faisabilité sur le rétablissement d’un passage sur le Rhin entre Schoenau et Weisweil
Publié par SchwoobAline le samedi 14 juin 2025
Au cœur du Rhin supérieur, une liaison manque encore entre la France et l’Allemagne : le pont flottant qui unissait les villes de Schoenau (FR) et Weisweil (DE) fût détruit en 1940 et n’a jamais été reconstruit. Pourtant, le besoin d’échanger, de se déplacer et de communiquer entre les deux territoires ne s’est jamais tari.
Pour recréer ce lien, les décideurs publics locaux prévoient de réaliser, dans le cadre du projet Fahrrhein, une étude de faisabilité, préalable indispensable à tout projet d’infrastructure. L’étude permettra aux élus de se positionner sur l’opportunité d’aménager une liaison fluviale ou terrestre entre les deux territoires. Elle permettra aussi de cerner les enjeux liés au tourisme, à la mobilité et à l’environnement inhérents à ce projet, ainsi que d’identifier les besoins des citoyens.
Il s’agira tout d’abord pour les partenaires du projet de définir dans un cahier des charges les éléments à analyser ; identifier les enjeux et les bénéficiaires potentiels, estimer les coûts, analyser les contraintes réglementaires, proposer des modes de gestion… Telles seront les missions confiées au prestataire qui réalisera l’étude, en concertation avec les partenaires du projet.
Une fois achevée, celle-ci sera présentée aux décideurs publics, ainsi qu’aux citoyens lors d’une réunion publique. A l’issue du projet, les représentants politiques de cet espace transfrontalier pourront décider de la suite à donner à cette étude.
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Conservation par le pâturage extensif des espèces et des habitats menacés dans la zone Ramsar du Rhin supérieur
Publié par SchwoobAline le samedi 14 juin 2025
La biodiversité connaît un fort déclin depuis 1960. La zone RAMSAR du Rhin supérieur n’échappe pas à ce déclin : la richesse de ses milieux est en régression nette depuis l’artificialisation du Rhin et l’intensification des espaces agricoles attenants. Parmi les biotopes particulièrement affectés, se comptent les milieux ouverts et semi-ouverts, riches d’une faune, d’une flore et d’une fonge remarquables. Ceux-ci étaient autrefois perpétuellement recréés par les crues du fleuves et/ou préservés par les herbivores sauvages ou le pâturage domestique. Aujourd’hui, ces milieux ne sont entretenus que par des moyens mécaniques très peu satisfaisants et peu respectueux de l’environnement.
Le pâturage avec des herbivores rustiques est avéré utile pour gérer ces milieux sensibles. Cependant, son impact réel sur la biodiversité reste peu documenté. Quelles espèces d’animaux choisir ? Quelle densité ? Pour quelles espèces végétales ? Quelle gestion du bétail ? Quels coûts et quelles prises en charge ? Quels débouchés économiques ? Quelle réglementation respecter ? Autant de questions auxquelles le projet « Biodiv’pâture » tentera de répondre.
Durant trois ans, les associations de protection de la nature alsaciennes et badoises qui portent le projet, auront pour objectif d’améliorer la connaissance des effets du pâturage extensif sur la biodiversité, pour développer des mesures concrètes de protection des espèces et espaces menacés le long du Rhin et apporter des solutions pratiques pour des modèles économiques fiables.
En collaboration avec des experts français et allemands, les équipes techniques dresseront un inventaire des sites gérés par écopâturage et par mécanisation, le long du Rhin et ailleurs en Europe. Ainsi, ces espaces pourront être étudiés de façon précise selon une grille d’analyse spécialement conçue.
Grâce à ces études, les équipes définiront ensemble des sites pilotes susceptibles d’être gérés par écopâturage. Enfin, des réponses pratiques en termes de méthodes standardisées, de suivi des cheptels, de modèles économiques, d’adaptation au changement climatique, de formation et de professionalisation des acteurs seront proposées.
En trois ans, le projet vise à la production d’un guide complet de mise en œuvres d’actions et de préconisations concrètes, pour qu’elles puissent être appliquées lors d’une prochaine phase sur les site pilotes identifiés.
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Une ville pro-active sans biocides
Publié par Anne-Sophie Mayer le samedi 14 juin 2025
ReactiveCity vise à développer et déployer une stratégie multi-acteurs de réduction et de sortie des émissions des biocides les plus nocifs pour une ville « perméable », approche permettant de réduire les infrastructures de collectes et de traitements des eaux pluviales et de soutenir les besoins croissants en eau d’une végétalisation des zones urbaines. Le projet est conçu pour générer, partager et pérenniser des résultats opérationnels et transférables à l’échelle des territoires urbains du Rhin supérieur souhaitant intégrer la réduction des biocides dans leur plan d’adaptation du dérèglement climatique.
Cette idée de projet fait suite au projet « NAVEBGO » qui s’est terminé fin septembre 2022. Le précédent projet a permis de rendre visible la problématique méconnue des biocides de façades, contribuant à réinterroger la conception de villes perméables. Ce nouveau projet va plus loin sur cette thématique en élargissant la problématique aux différentes sources de biocides et à l’ensemble des compartiments environnementaux et acteurs clés.
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