"Regiobogen" : une ceinture verte trinationale dans la Région des Trois frontières, France, Allemagne, Suisse

« Regiobogen » : une ceinture verte trinationale dans la Région des Trois frontières, France, Allemagne, Suisse

Publié par Adipso le dimanche 25 mai 2025

« Regiobogen » : une ceinture verte trinationale dans la Région des Trois frontières, France, Allemagne, Suisse

Le groupe de projet « Regiobogen », adjoint au cercle de travail  » Nature » du Centre Ecologique Trinational, était composé de 14 représentants des autorités et associations de France, Suisse et Allemagne engagées dans la protection de la nature ainsi qu’une directrice de projet depuis avril 2000. Les résultats obtenus ont été présentés aux communes, ce qui valut au groupe d’être reconnu et d’obtenir un soutien pour la continuation de son travail.
La collaboration avec l’université de Bâle s’est déroulée à plusieurs niveaux, tout en s’amplifiant. Un rassemblement de toutes les bases de planification des trois pays a été effectué et ceci a permis l’élaboration de cartes indiquant la situation actuelle du réseau de biotope. Le profil d’exigences nécessaires à l’élaboration du système d’information géographique(SIG) a été défini.
L’ébauche a été dressée et fut discutée par le groupe de travail de concert avec les offices compétents dans les trois pays.Le groupe de projet « Regiobogen », adjoint au cercle de travail  » Nature » du Centre Ecologique Trinational, était composé de 14 représentants des autorités et associations de France, Suisse et Allemagne engagées dans la protection de la nature ainsi qu’une directrice de projet depuis avril 2000. Les résultats obtenus ont été présentés aux communes, ce qui valut au groupe d’être reconnu et d’obtenir un soutien pour la continuation de son travail.
La collaboration avec l’université de Bâle s’est déroulée à plusieurs niveaux, tout en s’amplifiant. Un rassemblement de toutes les bases de planification des trois pays a été effectué et ceci a permis l’élaboration de cartes indiquant la situation actuelle du réseau de biotope. Le profil d’exigences nécessaires à l’élaboration du système d’information géographique(SIG) a été défini.
L’ébauche a été dressée et fut discutée par le groupe de travail de concert avec les offices compétents dans les trois pays.Le groupe de projet « Regiobogen », adjoint au cercle de travail  » Nature » du Centre Ecologique Trinational, était composé de 14 représentants des autorités et associations de France, Suisse et Allemagne engagées dans la protection de la nature ainsi qu’une directrice de projet depuis avril 2000. Les résultats obtenus ont été présentés aux communes, ce qui valut au groupe d’être reconnu et d’obtenir un soutien pour la continuation de son travail.
La collaboration avec l’université de Bâle s’est déroulée à plusieurs niveaux, tout en s’amplifiant. Un rassemblement de toutes les bases de planification des trois pays a été effectué et ceci a permis l’élaboration de cartes indiquant la situation actuelle du réseau de biotope. Le profil d’exigences nécessaires à l’élaboration du système d’information géographique(SIG) a été défini.
L’ébauche a été dressée et fut discutée par le groupe de travail de concert avec les offices compétents dans les trois pays.Le groupe de projet « Regiobogen », adjoint au cercle de travail  » Nature » du Centre Ecologique Trinational, était composé de 14 représentants des autorités et associations de France, Suisse et Allemagne engagées dans la protection de la nature ainsi qu’une directrice de projet depuis avril 2000. Les résultats obtenus ont été présentés aux communes, ce qui valut au groupe d’être reconnu et d’obtenir un soutien pour la continuation de son travail.
La collaboration avec l’université de Bâle s’est déroulée à plusieurs niveaux, tout en s’amplifiant. Un rassemblement de toutes les bases de planification des trois pays a été effectué et ceci a permis l’élaboration de cartes indiquant la situation actuelle du réseau de biotope. Le profil d’exigences nécessaires à l’élaboration du système d’information géographique(SIG) a été défini.
L’ébauche a été dressée et fut discutée par le groupe de travail de concert avec les offices compétents dans les trois pays.Le groupe de projet « Regiobogen », adjoint au cercle de travail  » Nature » du Centre Ecologique Trinational, était composé de 14 représentants des autorités et associations de France, Suisse et Allemagne engagées dans la protection de la nature ainsi qu’une directrice de projet depuis avril 2000. Les résultats obtenus ont été présentés aux communes, ce qui valut au groupe d’être reconnu et d’obtenir un soutien pour la continuation de son travail.
La collaboration avec l’université de Bâle s’est déroulée à plusieurs niveaux, tout en s’amplifiant. Un rassemblement de toutes les bases de planification des trois pays a été effectué et ceci a permis l’élaboration de cartes indiquant la situation actuelle du réseau de biotope. Le profil d’exigences nécessaires à l’élaboration du système d’information géographique(SIG) a été défini.
L’ébauche a été dressée et fut discutée par le groupe de travail de concert avec les offices compétents dans les trois pays.Le groupe de projet « Regiobogen », adjoint au cercle de travail  » Nature » du Centre Ecologique Trinational, était composé de 14 représentants des autorités et associations de France, Suisse et Allemagne engagées dans la protection de la nature ainsi qu’une directrice de projet depuis avril 2000. Les résultats obtenus ont été présentés aux communes, ce qui valut au groupe d’être reconnu et d’obtenir un soutien pour la continuation de son travail.
La collaboration avec l’université de Bâle s’est déroulée à plusieurs niveaux, tout en s’amplifiant. Un rassemblement de toutes les bases de planification des trois pays a été effectué et ceci a permis l’élaboration de cartes indiquant la situation actuelle du réseau de biotope. Le profil d’exigences nécessaires à l’élaboration du système d’information géographique(SIG) a été défini.
L’ébauche a été dressée et fut discutée par le groupe de travail de concert avec les offices compétents dans les trois pays.Le groupe de projet « Regiobogen », adjoint au cercle de travail  » Nature » du Centre Ecologique Trinational, était composé de 14 représentants des autorités et associations de France, Suisse et Allemagne engagées dans la protection de la nature ainsi qu’une directrice de projet depuis avril 2000. Les résultats obtenus ont été présentés aux communes, ce qui valut au groupe d’être reconnu et d’obtenir un soutien pour la continuation de son travail.
La collaboration avec l’université de Bâle s’est déroulée à plusieurs niveaux, tout en s’amplifiant. Un rassemblement de toutes les bases de planification des trois pays a été effectué et ceci a permis l’élaboration de cartes indiquant la situation actuelle du réseau de biotope. Le profil d’exigences nécessaires à l’élaboration du système d’information géographique(SIG) a été défini.
L’ébauche a été dressée et fut discutée par le groupe de travail de concert avec les offices compétents dans les trois pays.


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ITADA 2 : Institut transfrontalier d’application et de développement agronomique

Publié par Adipso le dimanche 25 mai 2025

ITADA 2 : Institut transfrontalier d’application et de développement agronomique

Le projet avait pour objectif de développer, d’évaluer et d’introduire des systèmes de production agricole respectueux de l’environnement.
Les objectifs prévus ont été réalisés avec succès et les connaissances acquises ont pu être mises en pratique sur le terrain.

Les apports du projet concernent à la fois les pratiques de mise en culture, les systèmes d’exploitation, le développement des marchés de certains produits issus d’une agriculture respectueuse de l’environnement, etc.


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Dépérissement forestier en vallée du Rhin

Publié par Adipso le dimanche 25 mai 2025

Dépérissement forestier en vallée du Rhin

Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.


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Centre transfrontalier et régional de l’environnement (phase 1)

Publié par Adipso le dimanche 25 mai 2025

Centre transfrontalier et régional de l’environnement (phase 1)

Il s’agissait de mettre en place un centre de l’environnement transfrontalier et régional, regroupant toutes les associations et institutions ayant une activité dans la protection de la nature. Cet organisme devait permettre la coordination et le suivi des actions menées dans la région des trois frontières.
Les objectifs visés ont été atteints : création du centre, actions de sensibilisation à l’environnement (formations, animations dans les écoles, etc.), et publication de brochures spécialisées.Il s’agissait de mettre en place un centre de l’environnement transfrontalier et régional, regroupant toutes les associations et institutions ayant une activité dans la protection de la nature. Cet organisme devait permettre la coordination et le suivi des actions menées dans la région des trois frontières.
Les objectifs visés ont été atteints : création du centre, actions de sensibilisation à l’environnement (formations, animations dans les écoles, etc.), et publication de brochures spécialisées.Il s’agissait de mettre en place un centre de l’environnement transfrontalier et régional, regroupant toutes les associations et institutions ayant une activité dans la protection de la nature. Cet organisme devait permettre la coordination et le suivi des actions menées dans la région des trois frontières.
Les objectifs visés ont été atteints : création du centre, actions de sensibilisation à l’environnement (formations, animations dans les écoles, etc.), et publication de brochures spécialisées.Il s’agissait de mettre en place un centre de l’environnement transfrontalier et régional, regroupant toutes les associations et institutions ayant une activité dans la protection de la nature. Cet organisme devait permettre la coordination et le suivi des actions menées dans la région des trois frontières.
Les objectifs visés ont été atteints : création du centre, actions de sensibilisation à l’environnement (formations, animations dans les écoles, etc.), et publication de brochures spécialisées.Il s’agissait de mettre en place un centre de l’environnement transfrontalier et régional, regroupant toutes les associations et institutions ayant une activité dans la protection de la nature. Cet organisme devait permettre la coordination et le suivi des actions menées dans la région des trois frontières.
Les objectifs visés ont été atteints : création du centre, actions de sensibilisation à l’environnement (formations, animations dans les écoles, etc.), et publication de brochures spécialisées.Il s’agissait de mettre en place un centre de l’environnement transfrontalier et régional, regroupant toutes les associations et institutions ayant une activité dans la protection de la nature. Cet organisme devait permettre la coordination et le suivi des actions menées dans la région des trois frontières.
Les objectifs visés ont été atteints : création du centre, actions de sensibilisation à l’environnement (formations, animations dans les écoles, etc.), et publication de brochures spécialisées.Il s’agissait de mettre en place un centre de l’environnement transfrontalier et régional, regroupant toutes les associations et institutions ayant une activité dans la protection de la nature. Cet organisme devait permettre la coordination et le suivi des actions menées dans la région des trois frontières.
Les objectifs visés ont été atteints : création du centre, actions de sensibilisation à l’environnement (formations, animations dans les écoles, etc.), et publication de brochures spécialisées.Il s’agissait de mettre en place un centre de l’environnement transfrontalier et régional, regroupant toutes les associations et institutions ayant une activité dans la protection de la nature. Cet organisme devait permettre la coordination et le suivi des actions menées dans la région des trois frontières.
Les objectifs visés ont été atteints : création du centre, actions de sensibilisation à l’environnement (formations, animations dans les écoles, etc.), et publication de brochures spécialisées.


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Centre de l’Environnement Régional et Transfrontalier (phase 2)

Publié par Adipso le dimanche 25 mai 2025

Centre de l’Environnement Régional et Transfrontalier (phase 2)

Le projet s’inscrivait dans le cadre du projet « Centre Régional et Transfrontalier de l’Environnement ». Il consistait en la création d’un équipement éducatif, dans le bâtiment « Halle Alsace » implanté sur le domaine de l’Eau Vive. Les objectifs du projet étaint les suivants :
– contribuer, au travers d’un programme d’actions transfrontalières, à sensibiliser un large public à l’environnement naturel et humain de la Regio,
– participer au développement local de la Regio par des actions d’animation, de recherche, d’information, de formation et de promotion en matière environnementale,
– favoriser la prise de conscience collective de l’importance des relations entre l’homme et son environnement en prenant notamment en considération la proximité de la Réserve Naturelle de la Petite Camargue Alsacienne.
L’équipement éducatif, comprenant la nouvelle structure d’accueil, la salle de projection multimédia, l’exposition permanente « Mémoire du Rhin » et des salles d’activités (espace de documentation, laboratoire, salle d’initiation à l’observation) a été réalisé comme prévu. La structure a attiré 3.000 personnes à son ouverture en avril 2001. De nombreux articles et reportages télévisés concernant le projet ont été réalisés dans les trois pays.Le projet s’inscrivait dans le cadre du projet « Centre Régional et Transfrontalier de l’Environnement ». Il consistait en la création d’un équipement éducatif, dans le bâtiment « Halle Alsace » implanté sur le domaine de l’Eau Vive. Les objectifs du projet étaint les suivants :
– contribuer, au travers d’un programme d’actions transfrontalières, à sensibiliser un large public à l’environnement naturel et humain de la Regio,
– participer au développement local de la Regio par des actions d’animation, de recherche, d’information, de formation et de promotion en matière environnementale,
– favoriser la prise de conscience collective de l’importance des relations entre l’homme et son environnement en prenant notamment en considération la proximité de la Réserve Naturelle de la Petite Camargue Alsacienne.
L’équipement éducatif, comprenant la nouvelle structure d’accueil, la salle de projection multimédia, l’exposition permanente « Mémoire du Rhin » et des salles d’activités (espace de documentation, laboratoire, salle d’initiation à l’observation) a été réalisé comme prévu. La structure a attiré 3.000 personnes à son ouverture en avril 2001. De nombreux articles et reportages télévisés concernant le projet ont été réalisés dans les trois pays.Le projet s’inscrivait dans le cadre du projet « Centre Régional et Transfrontalier de l’Environnement ». Il consistait en la création d’un équipement éducatif, dans le bâtiment « Halle Alsace » implanté sur le domaine de l’Eau Vive. Les objectifs du projet étaint les suivants :
– contribuer, au travers d’un programme d’actions transfrontalières, à sensibiliser un large public à l’environnement naturel et humain de la Regio,
– participer au développement local de la Regio par des actions d’animation, de recherche, d’information, de formation et de promotion en matière environnementale,
– favoriser la prise de conscience collective de l’importance des relations entre l’homme et son environnement en prenant notamment en considération la proximité de la Réserve Naturelle de la Petite Camargue Alsacienne.
L’équipement éducatif, comprenant la nouvelle structure d’accueil, la salle de projection multimédia, l’exposition permanente « Mémoire du Rhin » et des salles d’activités (espace de documentation, laboratoire, salle d’initiation à l’observation) a été réalisé comme prévu. La structure a attiré 3.000 personnes à son ouverture en avril 2001. De nombreux articles et reportages télévisés concernant le projet ont été réalisés dans les trois pays.Le projet s’inscrivait dans le cadre du projet « Centre Régional et Transfrontalier de l’Environnement ». Il consistait en la création d’un équipement éducatif, dans le bâtiment « Halle Alsace » implanté sur le domaine de l’Eau Vive. Les objectifs du projet étaint les suivants :
– contribuer, au travers d’un programme d’actions transfrontalières, à sensibiliser un large public à l’environnement naturel et humain de la Regio,
– participer au développement local de la Regio par des actions d’animation, de recherche, d’information, de formation et de promotion en matière environnementale,
– favoriser la prise de conscience collective de l’importance des relations entre l’homme et son environnement en prenant notamment en considération la proximité de la Réserve Naturelle de la Petite Camargue Alsacienne.
L’équipement éducatif, comprenant la nouvelle structure d’accueil, la salle de projection multimédia, l’exposition permanente « Mémoire du Rhin » et des salles d’activités (espace de documentation, laboratoire, salle d’initiation à l’observation) a été réalisé comme prévu. La structure a attiré 3.000 personnes à son ouverture en avril 2001. De nombreux articles et reportages télévisés concernant le projet ont été réalisés dans les trois pays.Le projet s’inscrivait dans le cadre du projet « Centre Régional et Transfrontalier de l’Environnement ». Il consistait en la création d’un équipement éducatif, dans le bâtiment « Halle Alsace » implanté sur le domaine de l’Eau Vive. Les objectifs du projet étaint les suivants :
– contribuer, au travers d’un programme d’actions transfrontalières, à sensibiliser un large public à l’environnement naturel et humain de la Regio,
– participer au développement local de la Regio par des actions d’animation, de recherche, d’information, de formation et de promotion en matière environnementale,
– favoriser la prise de conscience collective de l’importance des relations entre l’homme et son environnement en prenant notamment en considération la proximité de la Réserve Naturelle de la Petite Camargue Alsacienne.
L’équipement éducatif, comprenant la nouvelle structure d’accueil, la salle de projection multimédia, l’exposition permanente « Mémoire du Rhin » et des salles d’activités (espace de documentation, laboratoire, salle d’initiation à l’observation) a été réalisé comme prévu. La structure a attiré 3.000 personnes à son ouverture en avril 2001. De nombreux articles et reportages télévisés concernant le projet ont été réalisés dans les trois pays.Le projet s’inscrivait dans le cadre du projet « Centre Régional et Transfrontalier de l’Environnement ». Il consistait en la création d’un équipement éducatif, dans le bâtiment « Halle Alsace » implanté sur le domaine de l’Eau Vive. Les objectifs du projet étaint les suivants :
– contribuer, au travers d’un programme d’actions transfrontalières, à sensibiliser un large public à l’environnement naturel et humain de la Regio,
– participer au développement local de la Regio par des actions d’animation, de recherche, d’information, de formation et de promotion en matière environnementale,
– favoriser la prise de conscience collective de l’importance des relations entre l’homme et son environnement en prenant notamment en considération la proximité de la Réserve Naturelle de la Petite Camargue Alsacienne.
L’équipement éducatif, comprenant la nouvelle structure d’accueil, la salle de projection multimédia, l’exposition permanente « Mémoire du Rhin » et des salles d’activités (espace de documentation, laboratoire, salle d’initiation à l’observation) a été réalisé comme prévu. La structure a attiré 3.000 personnes à son ouverture en avril 2001. De nombreux articles et reportages télévisés concernant le projet ont été réalisés dans les trois pays.Le projet s’inscrivait dans le cadre du projet « Centre Régional et Transfrontalier de l’Environnement ». Il consistait en la création d’un équipement éducatif, dans le bâtiment « Halle Alsace » implanté sur le domaine de l’Eau Vive. Les objectifs du projet étaint les suivants :
– contribuer, au travers d’un programme d’actions transfrontalières, à sensibiliser un large public à l’environnement naturel et humain de la Regio,
– participer au développement local de la Regio par des actions d’animation, de recherche, d’information, de formation et de promotion en matière environnementale,
– favoriser la prise de conscience collective de l’importance des relations entre l’homme et son environnement en prenant notamment en considération la proximité de la Réserve Naturelle de la Petite Camargue Alsacienne.
L’équipement éducatif, comprenant la nouvelle structure d’accueil, la salle de projection multimédia, l’exposition permanente « Mémoire du Rhin » et des salles d’activités (espace de documentation, laboratoire, salle d’initiation à l’observation) a été réalisé comme prévu. La structure a attiré 3.000 personnes à son ouverture en avril 2001. De nombreux articles et reportages télévisés concernant le projet ont été réalisés dans les trois pays.Le projet s’inscrivait dans le cadre du projet « Centre Régional et Transfrontalier de l’Environnement ». Il consistait en la création d’un équipement éducatif, dans le bâtiment « Halle Alsace » implanté sur le domaine de l’Eau Vive. Les objectifs du projet étaint les suivants :
– contribuer, au travers d’un programme d’actions transfrontalières, à sensibiliser un large public à l’environnement naturel et humain de la Regio,
– participer au développement local de la Regio par des actions d’animation, de recherche, d’information, de formation et de promotion en matière environnementale,
– favoriser la prise de conscience collective de l’importance des relations entre l’homme et son environnement en prenant notamment en considération la proximité de la Réserve Naturelle de la Petite Camargue Alsacienne.
L’équipement éducatif, comprenant la nouvelle structure d’accueil, la salle de projection multimédia, l’exposition permanente « Mémoire du Rhin » et des salles d’activités (espace de documentation, laboratoire, salle d’initiation à l’observation) a été réalisé comme prévu. La structure a attiré 3.000 personnes à son ouverture en avril 2001. De nombreux articles et reportages télévisés concernant le projet ont été réalisés dans les trois pays.


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Exploration des aquifères et des sols dans la vallée du Hochrhein

Publié par Adipso le dimanche 25 mai 2025

Exploration des aquifères et des sols dans la vallée du Hochrhein

Le projet avait pour objet l’exploration des aquifères et des nappes phréatiques dans le remplissage de formations meubles de la vallée du Hochrhein entre Schaffhouse et Bâle en tenant plus particulièrement compte des qualités des sols en vue d’une évaluation des répercussions dues aux prélèvements, aux sinistres, aux installations existantes et aux projets prévus sur la zone d’exploitation d’eau et des sols des deux rives du Hochrhein.
Le projet a été réalisé en conformité avec les objectifs fixés. Pour l’inventaire des documents, l’ensemble des données disponibles a été réuni puis saisi dans les bases de données constituées. Après inventaire, certaines lacunes de données ont été repérées. Les résultats en matière d’hydrogéologie ont été regroupés dans 4 cartes et une représentation de coupe géologique. Les cartes élaborées montrent où se trouvent les zones sensibles. L’utilisation commune d’une base cartographique a nécessité bon nombre de mesures de coordination, d’homogénéisation et de transformation.Le projet avait pour objet l’exploration des aquifères et des nappes phréatiques dans le remplissage de formations meubles de la vallée du Hochrhein entre Schaffhouse et Bâle en tenant plus particulièrement compte des qualités des sols en vue d’une évaluation des répercussions dues aux prélèvements, aux sinistres, aux installations existantes et aux projets prévus sur la zone d’exploitation d’eau et des sols des deux rives du Hochrhein.
Le projet a été réalisé en conformité avec les objectifs fixés. Pour l’inventaire des documents, l’ensemble des données disponibles a été réuni puis saisi dans les bases de données constituées. Après inventaire, certaines lacunes de données ont été repérées. Les résultats en matière d’hydrogéologie ont été regroupés dans 4 cartes et une représentation de coupe géologique. Les cartes élaborées montrent où se trouvent les zones sensibles. L’utilisation commune d’une base cartographique a nécessité bon nombre de mesures de coordination, d’homogénéisation et de transformation.Le projet avait pour objet l’exploration des aquifères et des nappes phréatiques dans le remplissage de formations meubles de la vallée du Hochrhein entre Schaffhouse et Bâle en tenant plus particulièrement compte des qualités des sols en vue d’une évaluation des répercussions dues aux prélèvements, aux sinistres, aux installations existantes et aux projets prévus sur la zone d’exploitation d’eau et des sols des deux rives du Hochrhein.
Le projet a été réalisé en conformité avec les objectifs fixés. Pour l’inventaire des documents, l’ensemble des données disponibles a été réuni puis saisi dans les bases de données constituées. Après inventaire, certaines lacunes de données ont été repérées. Les résultats en matière d’hydrogéologie ont été regroupés dans 4 cartes et une représentation de coupe géologique. Les cartes élaborées montrent où se trouvent les zones sensibles. L’utilisation commune d’une base cartographique a nécessité bon nombre de mesures de coordination, d’homogénéisation et de transformation.Le projet avait pour objet l’exploration des aquifères et des nappes phréatiques dans le remplissage de formations meubles de la vallée du Hochrhein entre Schaffhouse et Bâle en tenant plus particulièrement compte des qualités des sols en vue d’une évaluation des répercussions dues aux prélèvements, aux sinistres, aux installations existantes et aux projets prévus sur la zone d’exploitation d’eau et des sols des deux rives du Hochrhein.
Le projet a été réalisé en conformité avec les objectifs fixés. Pour l’inventaire des documents, l’ensemble des données disponibles a été réuni puis saisi dans les bases de données constituées. Après inventaire, certaines lacunes de données ont été repérées. Les résultats en matière d’hydrogéologie ont été regroupés dans 4 cartes et une représentation de coupe géologique. Les cartes élaborées montrent où se trouvent les zones sensibles. L’utilisation commune d’une base cartographique a nécessité bon nombre de mesures de coordination, d’homogénéisation et de transformation.Le projet avait pour objet l’exploration des aquifères et des nappes phréatiques dans le remplissage de formations meubles de la vallée du Hochrhein entre Schaffhouse et Bâle en tenant plus particulièrement compte des qualités des sols en vue d’une évaluation des répercussions dues aux prélèvements, aux sinistres, aux installations existantes et aux projets prévus sur la zone d’exploitation d’eau et des sols des deux rives du Hochrhein.
Le projet a été réalisé en conformité avec les objectifs fixés. Pour l’inventaire des documents, l’ensemble des données disponibles a été réuni puis saisi dans les bases de données constituées. Après inventaire, certaines lacunes de données ont été repérées. Les résultats en matière d’hydrogéologie ont été regroupés dans 4 cartes et une représentation de coupe géologique. Les cartes élaborées montrent où se trouvent les zones sensibles. L’utilisation commune d’une base cartographique a nécessité bon nombre de mesures de coordination, d’homogénéisation et de transformation.Le projet avait pour objet l’exploration des aquifères et des nappes phréatiques dans le remplissage de formations meubles de la vallée du Hochrhein entre Schaffhouse et Bâle en tenant plus particulièrement compte des qualités des sols en vue d’une évaluation des répercussions dues aux prélèvements, aux sinistres, aux installations existantes et aux projets prévus sur la zone d’exploitation d’eau et des sols des deux rives du Hochrhein.
Le projet a été réalisé en conformité avec les objectifs fixés. Pour l’inventaire des documents, l’ensemble des données disponibles a été réuni puis saisi dans les bases de données constituées. Après inventaire, certaines lacunes de données ont été repérées. Les résultats en matière d’hydrogéologie ont été regroupés dans 4 cartes et une représentation de coupe géologique. Les cartes élaborées montrent où se trouvent les zones sensibles. L’utilisation commune d’une base cartographique a nécessité bon nombre de mesures de coordination, d’homogénéisation et de transformation.Le projet avait pour objet l’exploration des aquifères et des nappes phréatiques dans le remplissage de formations meubles de la vallée du Hochrhein entre Schaffhouse et Bâle en tenant plus particulièrement compte des qualités des sols en vue d’une évaluation des répercussions dues aux prélèvements, aux sinistres, aux installations existantes et aux projets prévus sur la zone d’exploitation d’eau et des sols des deux rives du Hochrhein.
Le projet a été réalisé en conformité avec les objectifs fixés. Pour l’inventaire des documents, l’ensemble des données disponibles a été réuni puis saisi dans les bases de données constituées. Après inventaire, certaines lacunes de données ont été repérées. Les résultats en matière d’hydrogéologie ont été regroupés dans 4 cartes et une représentation de coupe géologique. Les cartes élaborées montrent où se trouvent les zones sensibles. L’utilisation commune d’une base cartographique a nécessité bon nombre de mesures de coordination, d’homogénéisation et de transformation.Le projet avait pour objet l’exploration des aquifères et des nappes phréatiques dans le remplissage de formations meubles de la vallée du Hochrhein entre Schaffhouse et Bâle en tenant plus particulièrement compte des qualités des sols en vue d’une évaluation des répercussions dues aux prélèvements, aux sinistres, aux installations existantes et aux projets prévus sur la zone d’exploitation d’eau et des sols des deux rives du Hochrhein.
Le projet a été réalisé en conformité avec les objectifs fixés. Pour l’inventaire des documents, l’ensemble des données disponibles a été réuni puis saisi dans les bases de données constituées. Après inventaire, certaines lacunes de données ont été repérées. Les résultats en matière d’hydrogéologie ont été regroupés dans 4 cartes et une représentation de coupe géologique. Les cartes élaborées montrent où se trouvent les zones sensibles. L’utilisation commune d’une base cartographique a nécessité bon nombre de mesures de coordination, d’homogénéisation et de transformation.


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Analyse comparative de la vitalité des arbres en milieu urbain et en environnement naturel

Publié par Adipso le dimanche 25 mai 2025

Analyse comparative de la vitalité des arbres en milieu urbain et en environnement naturel

Ce projet, d’une durée de deux ans, comprenait deux phases principales:
– la phase 1 du projet était consacrée à la mise au point et à la réalisation d’un système de mesure autonome et mobile.
– La phase 2 était consacrée aux campagnes de mesure avec l’appareillage mobile de routine, d’une part, et avec les méthodes d’analyses utilisées par les équipes Körner, Rennenberg et Strasser.
Les travaux prévus ont été réalisés. Tout d’abord on a construit le système de mesure d’échanges gazeux, avec lequel des mesures ont été effectuées d’abord en serre sous conditions contrôlées puis en pleine nature, en ville et en forêt. Ainsi tous les travaux ont été menés pour la réalisation des objectifs techniques et scientifiques. Le groupe suisse s’est consacré essentiellement aux mesures de vitalité des arbres in situ, dans la région de Bâle et de Bruxelles. Une collaboration dans le cadre de différents projets de recherche a eu lieu.
La station d’analyse de fluorescence laser autonome et mobile a été construite conformément au descriptif de la convention particulière. Cependant, le laser a été livré en retard et la station n’est devenue opérationnelle qu’en août 2000. Ce retard a eu pour conséquence de condamner la première campagne de mesure et de réduire très sérieusement la durée de validation.
Le partenariat a fonctionné de manière très satisfaisante et a permis la réalisation du projet avec succès.Ce projet, d’une durée de deux ans, comprenait deux phases principales:
– la phase 1 du projet était consacrée à la mise au point et à la réalisation d’un système de mesure autonome et mobile.
– La phase 2 était consacrée aux campagnes de mesure avec l’appareillage mobile de routine, d’une part, et avec les méthodes d’analyses utilisées par les équipes Körner, Rennenberg et Strasser.
Les travaux prévus ont été réalisés. Tout d’abord on a construit le système de mesure d’échanges gazeux, avec lequel des mesures ont été effectuées d’abord en serre sous conditions contrôlées puis en pleine nature, en ville et en forêt. Ainsi tous les travaux ont été menés pour la réalisation des objectifs techniques et scientifiques. Le groupe suisse s’est consacré essentiellement aux mesures de vitalité des arbres in situ, dans la région de Bâle et de Bruxelles. Une collaboration dans le cadre de différents projets de recherche a eu lieu.
La station d’analyse de fluorescence laser autonome et mobile a été construite conformément au descriptif de la convention particulière. Cependant, le laser a été livré en retard et la station n’est devenue opérationnelle qu’en août 2000. Ce retard a eu pour conséquence de condamner la première campagne de mesure et de réduire très sérieusement la durée de validation.
Le partenariat a fonctionné de manière très satisfaisante et a permis la réalisation du projet avec succès.Ce projet, d’une durée de deux ans, comprenait deux phases principales:
– la phase 1 du projet était consacrée à la mise au point et à la réalisation d’un système de mesure autonome et mobile.
– La phase 2 était consacrée aux campagnes de mesure avec l’appareillage mobile de routine, d’une part, et avec les méthodes d’analyses utilisées par les équipes Körner, Rennenberg et Strasser.
Les travaux prévus ont été réalisés. Tout d’abord on a construit le système de mesure d’échanges gazeux, avec lequel des mesures ont été effectuées d’abord en serre sous conditions contrôlées puis en pleine nature, en ville et en forêt. Ainsi tous les travaux ont été menés pour la réalisation des objectifs techniques et scientifiques. Le groupe suisse s’est consacré essentiellement aux mesures de vitalité des arbres in situ, dans la région de Bâle et de Bruxelles. Une collaboration dans le cadre de différents projets de recherche a eu lieu.
La station d’analyse de fluorescence laser autonome et mobile a été construite conformément au descriptif de la convention particulière. Cependant, le laser a été livré en retard et la station n’est devenue opérationnelle qu’en août 2000. Ce retard a eu pour conséquence de condamner la première campagne de mesure et de réduire très sérieusement la durée de validation.
Le partenariat a fonctionné de manière très satisfaisante et a permis la réalisation du projet avec succès.Ce projet, d’une durée de deux ans, comprenait deux phases principales:
– la phase 1 du projet était consacrée à la mise au point et à la réalisation d’un système de mesure autonome et mobile.
– La phase 2 était consacrée aux campagnes de mesure avec l’appareillage mobile de routine, d’une part, et avec les méthodes d’analyses utilisées par les équipes Körner, Rennenberg et Strasser.
Les travaux prévus ont été réalisés. Tout d’abord on a construit le système de mesure d’échanges gazeux, avec lequel des mesures ont été effectuées d’abord en serre sous conditions contrôlées puis en pleine nature, en ville et en forêt. Ainsi tous les travaux ont été menés pour la réalisation des objectifs techniques et scientifiques. Le groupe suisse s’est consacré essentiellement aux mesures de vitalité des arbres in situ, dans la région de Bâle et de Bruxelles. Une collaboration dans le cadre de différents projets de recherche a eu lieu.
La station d’analyse de fluorescence laser autonome et mobile a été construite conformément au descriptif de la convention particulière. Cependant, le laser a été livré en retard et la station n’est devenue opérationnelle qu’en août 2000. Ce retard a eu pour conséquence de condamner la première campagne de mesure et de réduire très sérieusement la durée de validation.
Le partenariat a fonctionné de manière très satisfaisante et a permis la réalisation du projet avec succès.Ce projet, d’une durée de deux ans, comprenait deux phases principales:
– la phase 1 du projet était consacrée à la mise au point et à la réalisation d’un système de mesure autonome et mobile.
– La phase 2 était consacrée aux campagnes de mesure avec l’appareillage mobile de routine, d’une part, et avec les méthodes d’analyses utilisées par les équipes Körner, Rennenberg et Strasser.
Les travaux prévus ont été réalisés. Tout d’abord on a construit le système de mesure d’échanges gazeux, avec lequel des mesures ont été effectuées d’abord en serre sous conditions contrôlées puis en pleine nature, en ville et en forêt. Ainsi tous les travaux ont été menés pour la réalisation des objectifs techniques et scientifiques. Le groupe suisse s’est consacré essentiellement aux mesures de vitalité des arbres in situ, dans la région de Bâle et de Bruxelles. Une collaboration dans le cadre de différents projets de recherche a eu lieu.
La station d’analyse de fluorescence laser autonome et mobile a été construite conformément au descriptif de la convention particulière. Cependant, le laser a été livré en retard et la station n’est devenue opérationnelle qu’en août 2000. Ce retard a eu pour conséquence de condamner la première campagne de mesure et de réduire très sérieusement la durée de validation.
Le partenariat a fonctionné de manière très satisfaisante et a permis la réalisation du projet avec succès.Ce projet, d’une durée de deux ans, comprenait deux phases principales:
– la phase 1 du projet était consacrée à la mise au point et à la réalisation d’un système de mesure autonome et mobile.
– La phase 2 était consacrée aux campagnes de mesure avec l’appareillage mobile de routine, d’une part, et avec les méthodes d’analyses utilisées par les équipes Körner, Rennenberg et Strasser.
Les travaux prévus ont été réalisés. Tout d’abord on a construit le système de mesure d’échanges gazeux, avec lequel des mesures ont été effectuées d’abord en serre sous conditions contrôlées puis en pleine nature, en ville et en forêt. Ainsi tous les travaux ont été menés pour la réalisation des objectifs techniques et scientifiques. Le groupe suisse s’est consacré essentiellement aux mesures de vitalité des arbres in situ, dans la région de Bâle et de Bruxelles. Une collaboration dans le cadre de différents projets de recherche a eu lieu.
La station d’analyse de fluorescence laser autonome et mobile a été construite conformément au descriptif de la convention particulière. Cependant, le laser a été livré en retard et la station n’est devenue opérationnelle qu’en août 2000. Ce retard a eu pour conséquence de condamner la première campagne de mesure et de réduire très sérieusement la durée de validation.
Le partenariat a fonctionné de manière très satisfaisante et a permis la réalisation du projet avec succès.Ce projet, d’une durée de deux ans, comprenait deux phases principales:
– la phase 1 du projet était consacrée à la mise au point et à la réalisation d’un système de mesure autonome et mobile.
– La phase 2 était consacrée aux campagnes de mesure avec l’appareillage mobile de routine, d’une part, et avec les méthodes d’analyses utilisées par les équipes Körner, Rennenberg et Strasser.
Les travaux prévus ont été réalisés. Tout d’abord on a construit le système de mesure d’échanges gazeux, avec lequel des mesures ont été effectuées d’abord en serre sous conditions contrôlées puis en pleine nature, en ville et en forêt. Ainsi tous les travaux ont été menés pour la réalisation des objectifs techniques et scientifiques. Le groupe suisse s’est consacré essentiellement aux mesures de vitalité des arbres in situ, dans la région de Bâle et de Bruxelles. Une collaboration dans le cadre de différents projets de recherche a eu lieu.
La station d’analyse de fluorescence laser autonome et mobile a été construite conformément au descriptif de la convention particulière. Cependant, le laser a été livré en retard et la station n’est devenue opérationnelle qu’en août 2000. Ce retard a eu pour conséquence de condamner la première campagne de mesure et de réduire très sérieusement la durée de validation.
Le partenariat a fonctionné de manière très satisfaisante et a permis la réalisation du projet avec succès.Ce projet, d’une durée de deux ans, comprenait deux phases principales:
– la phase 1 du projet était consacrée à la mise au point et à la réalisation d’un système de mesure autonome et mobile.
– La phase 2 était consacrée aux campagnes de mesure avec l’appareillage mobile de routine, d’une part, et avec les méthodes d’analyses utilisées par les équipes Körner, Rennenberg et Strasser.
Les travaux prévus ont été réalisés. Tout d’abord on a construit le système de mesure d’échanges gazeux, avec lequel des mesures ont été effectuées d’abord en serre sous conditions contrôlées puis en pleine nature, en ville et en forêt. Ainsi tous les travaux ont été menés pour la réalisation des objectifs techniques et scientifiques. Le groupe suisse s’est consacré essentiellement aux mesures de vitalité des arbres in situ, dans la région de Bâle et de Bruxelles. Une collaboration dans le cadre de différents projets de recherche a eu lieu.
La station d’analyse de fluorescence laser autonome et mobile a été construite conformément au descriptif de la convention particulière. Cependant, le laser a été livré en retard et la station n’est devenue opérationnelle qu’en août 2000. Ce retard a eu pour conséquence de condamner la première campagne de mesure et de réduire très sérieusement la durée de validation.
Le partenariat a fonctionné de manière très satisfaisante et a permis la réalisation du projet avec succès.


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Reconnaissance transfrontalière de l’aquifère profond dans la bande rhénane entre Fessenheim-Breisach

Publié par Adipso le dimanche 25 mai 2025

Reconnaissance transfrontalière de l’aquifère profond dans la bande rhénane entre Fessenheim-Breisach

Le projet visait à reconnaître plus précisément la morphologie de la nappe et la nature des alluvions profondes. Les travaux prévus étaient les suivants :
– Collecte et saisie de données indépendamment du maillage et modélisation régionale en régime transitoire du secteur d’étude transfrontalier
– Modélisation de l’écoulement densitaire des eaux salées
La cartographie transfrontalière géologique et hydrogéologique et les profils géologiques ont été mis à jour. Un modèle hydrodynamique régional 3D multicouche a été mis au point pour modéliser le transport de la salure en prenant en compte l’effet densitaire, et a été calé en fonction des données acquises. Des premières simulations préliminaires de l’écoulement de la salure ont pu être réalisées. Il faut cependant remarquer qu’il a été difficile de réaliser les deux forages profonds de Hartheim (D) et Nambsheim (F) dans les contraintes de durée du projet car les conditions géologiques ont été plus difficiles que prévu.
Il s’est établi au cours du déroulement du projet un partenariat amical et efficace entre les différents acteurs.


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ITADA 2 bis

Publié par Adipso le dimanche 25 mai 2025

ITADA 2 bis

Le projet avait pour objectif de développer, d’évaluer et d’introduire des systèmes de production agricole respectueux de l’environnement.
Les objectifs recherchés ont été atteints, et le partenariat s’est poursuivi. En plus du travail réalisé, 5 grandes manifestations communes ont été organisées.

Le travail de l’ITADA permet d’établir un trait d’union entre la recherche et les institutions de conseil agricole.


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Plan de protection atmosphérique Strasbourg / Ortenau

Publié par Adipso le dimanche 25 mai 2025

Plan de protection atmosphérique Strasbourg / Ortenau

Le plan de protection atmosphérique a été mis en place pour analyser les origines de la pollution de l’air sur l’espace Strasbourg-Ortenau et formuler des propositions d’amélioration.


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