Programme trinational pour la préservation des vergers et de la biodiversité associée

Programme trinational pour la préservation des vergers et de la biodiversité associée

Publié par Adipso le mercredi 10 septembre 2025

Programme trinational pour la préservation des vergers et de la biodiversité associée

Le projet consistait à mettre en œuvre un programme de conservation des vergers à hautes tiges et de la biodiversité qui lui est associée, notamment l’avifaune et la flore.
La constitution d’un réseau d’échanges de savoir-faire entre les différents spécialistes (arboriculteurs, ornithologues etc.) et acteurs (acteurs fonciers, élus, etc.) devait permettre un réel retour d’expérience et une mise en commun au niveau trinational. A cet effet, des réunions, des chantiers d’entretien et de gestion de biotopes, et des sorties guidées pour le public spécialisé et le grand public ont été organisées.
En outre, les partenaires ont mis en place 3 parcelles sur l’ensemble de la région des Trois Frontières, une surface totale de 2,5 hectares, pour en faire des sites témoins et expérimentaux.
Enfin, suite à une étude de marché réalisée en 2005, le projet a permis de développer, de mettre sur le marché et de promouvoir différents produits issus des vergers à haute-tige.Le projet consistait à mettre en œuvre un programme de conservation des vergers à hautes tiges et de la biodiversité qui lui est associée, notamment l’avifaune et la flore.
La constitution d’un réseau d’échanges de savoir-faire entre les différents spécialistes (arboriculteurs, ornithologues etc.) et acteurs (acteurs fonciers, élus, etc.) devait permettre un réel retour d’expérience et une mise en commun au niveau trinational. A cet effet, des réunions, des chantiers d’entretien et de gestion de biotopes, et des sorties guidées pour le public spécialisé et le grand public ont été organisées.
En outre, les partenaires ont mis en place 3 parcelles sur l’ensemble de la région des Trois Frontières, une surface totale de 2,5 hectares, pour en faire des sites témoins et expérimentaux.
Enfin, suite à une étude de marché réalisée en 2005, le projet a permis de développer, de mettre sur le marché et de promouvoir différents produits issus des vergers à haute-tige.Le projet consistait à mettre en œuvre un programme de conservation des vergers à hautes tiges et de la biodiversité qui lui est associée, notamment l’avifaune et la flore.
La constitution d’un réseau d’échanges de savoir-faire entre les différents spécialistes (arboriculteurs, ornithologues etc.) et acteurs (acteurs fonciers, élus, etc.) devait permettre un réel retour d’expérience et une mise en commun au niveau trinational. A cet effet, des réunions, des chantiers d’entretien et de gestion de biotopes, et des sorties guidées pour le public spécialisé et le grand public ont été organisées.
En outre, les partenaires ont mis en place 3 parcelles sur l’ensemble de la région des Trois Frontières, une surface totale de 2,5 hectares, pour en faire des sites témoins et expérimentaux.
Enfin, suite à une étude de marché réalisée en 2005, le projet a permis de développer, de mettre sur le marché et de promouvoir différents produits issus des vergers à haute-tige.Le projet consistait à mettre en œuvre un programme de conservation des vergers à hautes tiges et de la biodiversité qui lui est associée, notamment l’avifaune et la flore.
La constitution d’un réseau d’échanges de savoir-faire entre les différents spécialistes (arboriculteurs, ornithologues etc.) et acteurs (acteurs fonciers, élus, etc.) devait permettre un réel retour d’expérience et une mise en commun au niveau trinational. A cet effet, des réunions, des chantiers d’entretien et de gestion de biotopes, et des sorties guidées pour le public spécialisé et le grand public ont été organisées.
En outre, les partenaires ont mis en place 3 parcelles sur l’ensemble de la région des Trois Frontières, une surface totale de 2,5 hectares, pour en faire des sites témoins et expérimentaux.
Enfin, suite à une étude de marché réalisée en 2005, le projet a permis de développer, de mettre sur le marché et de promouvoir différents produits issus des vergers à haute-tige.Le projet consistait à mettre en œuvre un programme de conservation des vergers à hautes tiges et de la biodiversité qui lui est associée, notamment l’avifaune et la flore.
La constitution d’un réseau d’échanges de savoir-faire entre les différents spécialistes (arboriculteurs, ornithologues etc.) et acteurs (acteurs fonciers, élus, etc.) devait permettre un réel retour d’expérience et une mise en commun au niveau trinational. A cet effet, des réunions, des chantiers d’entretien et de gestion de biotopes, et des sorties guidées pour le public spécialisé et le grand public ont été organisées.
En outre, les partenaires ont mis en place 3 parcelles sur l’ensemble de la région des Trois Frontières, une surface totale de 2,5 hectares, pour en faire des sites témoins et expérimentaux.
Enfin, suite à une étude de marché réalisée en 2005, le projet a permis de développer, de mettre sur le marché et de promouvoir différents produits issus des vergers à haute-tige.Le projet consistait à mettre en œuvre un programme de conservation des vergers à hautes tiges et de la biodiversité qui lui est associée, notamment l’avifaune et la flore.
La constitution d’un réseau d’échanges de savoir-faire entre les différents spécialistes (arboriculteurs, ornithologues etc.) et acteurs (acteurs fonciers, élus, etc.) devait permettre un réel retour d’expérience et une mise en commun au niveau trinational. A cet effet, des réunions, des chantiers d’entretien et de gestion de biotopes, et des sorties guidées pour le public spécialisé et le grand public ont été organisées.
En outre, les partenaires ont mis en place 3 parcelles sur l’ensemble de la région des Trois Frontières, une surface totale de 2,5 hectares, pour en faire des sites témoins et expérimentaux.
Enfin, suite à une étude de marché réalisée en 2005, le projet a permis de développer, de mettre sur le marché et de promouvoir différents produits issus des vergers à haute-tige.


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Optimisation du rôle de la forêt dans la protection des petits cours d’eau et des zones humides

Publié par Adipso le mercredi 10 septembre 2025

Optimisation du rôle de la forêt dans la protection des petits cours d’eau et des zones humides

Le projet avait pour objectif d’étudier les interactions entre gestion forestière et milieux aquatiques dans les forêts de moyenne montagne du bassin rhénan moyen. Il s’agissait également de décrire et d’évaluer de manière transfrontalière la contribution de la forêt à l’amélioration de la qualité de l’eau.

Les objectifs détaillés étaient les suivants :
– Améliorer la connaissance des milieux aquatiques forestiers et évaluer l’influence de la gestion forestière sur ces milieux,
– Proposer des actions concrètes de restauration et de protection des milieux aquatiques,
– Evaluer d’un point de vue économique le coût des mesures à mettre en œuvre pour une gestion forestière respectueuse de l’eau,
– Sensibiliser et former les gestionnaires, propriétaires et exploitants forestiers.

Les opérations prévues ont directement été animées par une équipe de 16 opérateurs regroupant des scientifiques, des gestionnaires forestiers et des administrateurs.
Outre les échanges et le partage de compétences, ces travaux ont permis de mobiliser un nombre important de gestionnaires forestiers à travers des études de terrain et les formations. La dynamique instaurée pourra se poursuivre grâce aux supports de sensibilisation construits durant le projet.
Les actions prévues se sont notamment concrétisées via une série de chantiers pilotes de restauration de milieux aquatiques. Cette approche a été complétée par une analyse économique qui permet de préciser les coûts liés à une gestion forestière orientée eau.Le projet avait pour objectif d’étudier les interactions entre gestion forestière et milieux aquatiques dans les forêts de moyenne montagne du bassin rhénan moyen. Il s’agissait également de décrire et d’évaluer de manière transfrontalière la contribution de la forêt à l’amélioration de la qualité de l’eau.

Les objectifs détaillés étaient les suivants :
– Améliorer la connaissance des milieux aquatiques forestiers et évaluer l’influence de la gestion forestière sur ces milieux,
– Proposer des actions concrètes de restauration et de protection des milieux aquatiques,
– Evaluer d’un point de vue économique le coût des mesures à mettre en œuvre pour une gestion forestière respectueuse de l’eau,
– Sensibiliser et former les gestionnaires, propriétaires et exploitants forestiers.

Les opérations prévues ont directement été animées par une équipe de 16 opérateurs regroupant des scientifiques, des gestionnaires forestiers et des administrateurs.
Outre les échanges et le partage de compétences, ces travaux ont permis de mobiliser un nombre important de gestionnaires forestiers à travers des études de terrain et les formations. La dynamique instaurée pourra se poursuivre grâce aux supports de sensibilisation construits durant le projet.
Les actions prévues se sont notamment concrétisées via une série de chantiers pilotes de restauration de milieux aquatiques. Cette approche a été complétée par une analyse économique qui permet de préciser les coûts liés à une gestion forestière orientée eau.Le projet avait pour objectif d’étudier les interactions entre gestion forestière et milieux aquatiques dans les forêts de moyenne montagne du bassin rhénan moyen. Il s’agissait également de décrire et d’évaluer de manière transfrontalière la contribution de la forêt à l’amélioration de la qualité de l’eau.

Les objectifs détaillés étaient les suivants :
– Améliorer la connaissance des milieux aquatiques forestiers et évaluer l’influence de la gestion forestière sur ces milieux,
– Proposer des actions concrètes de restauration et de protection des milieux aquatiques,
– Evaluer d’un point de vue économique le coût des mesures à mettre en œuvre pour une gestion forestière respectueuse de l’eau,
– Sensibiliser et former les gestionnaires, propriétaires et exploitants forestiers.

Les opérations prévues ont directement été animées par une équipe de 16 opérateurs regroupant des scientifiques, des gestionnaires forestiers et des administrateurs.
Outre les échanges et le partage de compétences, ces travaux ont permis de mobiliser un nombre important de gestionnaires forestiers à travers des études de terrain et les formations. La dynamique instaurée pourra se poursuivre grâce aux supports de sensibilisation construits durant le projet.
Les actions prévues se sont notamment concrétisées via une série de chantiers pilotes de restauration de milieux aquatiques. Cette approche a été complétée par une analyse économique qui permet de préciser les coûts liés à une gestion forestière orientée eau.Le projet avait pour objectif d’étudier les interactions entre gestion forestière et milieux aquatiques dans les forêts de moyenne montagne du bassin rhénan moyen. Il s’agissait également de décrire et d’évaluer de manière transfrontalière la contribution de la forêt à l’amélioration de la qualité de l’eau.

Les objectifs détaillés étaient les suivants :
– Améliorer la connaissance des milieux aquatiques forestiers et évaluer l’influence de la gestion forestière sur ces milieux,
– Proposer des actions concrètes de restauration et de protection des milieux aquatiques,
– Evaluer d’un point de vue économique le coût des mesures à mettre en œuvre pour une gestion forestière respectueuse de l’eau,
– Sensibiliser et former les gestionnaires, propriétaires et exploitants forestiers.

Les opérations prévues ont directement été animées par une équipe de 16 opérateurs regroupant des scientifiques, des gestionnaires forestiers et des administrateurs.
Outre les échanges et le partage de compétences, ces travaux ont permis de mobiliser un nombre important de gestionnaires forestiers à travers des études de terrain et les formations. La dynamique instaurée pourra se poursuivre grâce aux supports de sensibilisation construits durant le projet.
Les actions prévues se sont notamment concrétisées via une série de chantiers pilotes de restauration de milieux aquatiques. Cette approche a été complétée par une analyse économique qui permet de préciser les coûts liés à une gestion forestière orientée eau.Le projet avait pour objectif d’étudier les interactions entre gestion forestière et milieux aquatiques dans les forêts de moyenne montagne du bassin rhénan moyen. Il s’agissait également de décrire et d’évaluer de manière transfrontalière la contribution de la forêt à l’amélioration de la qualité de l’eau.

Les objectifs détaillés étaient les suivants :
– Améliorer la connaissance des milieux aquatiques forestiers et évaluer l’influence de la gestion forestière sur ces milieux,
– Proposer des actions concrètes de restauration et de protection des milieux aquatiques,
– Evaluer d’un point de vue économique le coût des mesures à mettre en œuvre pour une gestion forestière respectueuse de l’eau,
– Sensibiliser et former les gestionnaires, propriétaires et exploitants forestiers.

Les opérations prévues ont directement été animées par une équipe de 16 opérateurs regroupant des scientifiques, des gestionnaires forestiers et des administrateurs.
Outre les échanges et le partage de compétences, ces travaux ont permis de mobiliser un nombre important de gestionnaires forestiers à travers des études de terrain et les formations. La dynamique instaurée pourra se poursuivre grâce aux supports de sensibilisation construits durant le projet.
Les actions prévues se sont notamment concrétisées via une série de chantiers pilotes de restauration de milieux aquatiques. Cette approche a été complétée par une analyse économique qui permet de préciser les coûts liés à une gestion forestière orientée eau.Le projet avait pour objectif d’étudier les interactions entre gestion forestière et milieux aquatiques dans les forêts de moyenne montagne du bassin rhénan moyen. Il s’agissait également de décrire et d’évaluer de manière transfrontalière la contribution de la forêt à l’amélioration de la qualité de l’eau.

Les objectifs détaillés étaient les suivants :
– Améliorer la connaissance des milieux aquatiques forestiers et évaluer l’influence de la gestion forestière sur ces milieux,
– Proposer des actions concrètes de restauration et de protection des milieux aquatiques,
– Evaluer d’un point de vue économique le coût des mesures à mettre en œuvre pour une gestion forestière respectueuse de l’eau,
– Sensibiliser et former les gestionnaires, propriétaires et exploitants forestiers.

Les opérations prévues ont directement été animées par une équipe de 16 opérateurs regroupant des scientifiques, des gestionnaires forestiers et des administrateurs.
Outre les échanges et le partage de compétences, ces travaux ont permis de mobiliser un nombre important de gestionnaires forestiers à travers des études de terrain et les formations. La dynamique instaurée pourra se poursuivre grâce aux supports de sensibilisation construits durant le projet.
Les actions prévues se sont notamment concrétisées via une série de chantiers pilotes de restauration de milieux aquatiques. Cette approche a été complétée par une analyse économique qui permet de préciser les coûts liés à une gestion forestière orientée eau.


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Schéma paysager transfrontalier Marckolsheim-Sasbach

Publié par Adipso le mercredi 10 septembre 2025

Schéma paysager transfrontalier Marckolsheim-Sasbach

Le territoire commun des deux secteurs voisins de Marckolsheim (F) et Sasbach (D) devait faire l’objet d’une valorisation écologique et paysagère de l’environnement, avec renforcement du tissu économique. Une étude de faisabilité devait servir à établir des propositions de mise en œuvre sur la base de jonction et de l’intégration des impératifs, liés à la protection de la nature et de l’environnement, à la promotion d’une agriculture et d’une sylviculture à vocation écologique durable, et à la promotion du tourisme. Cette étude devait permettre d’évaluer la faisabilité d’un « Centre de Rencontre et d’Animation Transfrontalier du Rhin Supérieur » comme facteur du développement touristique et paysager.
Il y a eu au total 16 réunions du comité de pilotage, 6 documents intermédiaires réalisés par le bureau d’étude (brochure touristique, site Internet sentier découverte de l’île du Rhin… ) et 8 articles de presse ont paru ( Badische Zeitung, bulletin intercommunal de la CCME… ). Il y a également de nombreux projets en cours dans le domaine du tourisme (ex : Création de structures d’hébergement touristique), de l’environnement (ex : création de bandes, liaisons, zones vertes), du transport (développement d’un réseau de transport public), et de la coopération transfrontalière (ex : échanges entre jeunes et associations).
Les résultats sont allés au-delà des espérances prévues puisqu’un réel partenariat a été développé et pérennisé.Le territoire commun des deux secteurs voisins de Marckolsheim (F) et Sasbach (D) devait faire l’objet d’une valorisation écologique et paysagère de l’environnement, avec renforcement du tissu économique. Une étude de faisabilité devait servir à établir des propositions de mise en œuvre sur la base de jonction et de l’intégration des impératifs, liés à la protection de la nature et de l’environnement, à la promotion d’une agriculture et d’une sylviculture à vocation écologique durable, et à la promotion du tourisme. Cette étude devait permettre d’évaluer la faisabilité d’un « Centre de Rencontre et d’Animation Transfrontalier du Rhin Supérieur » comme facteur du développement touristique et paysager.
Il y a eu au total 16 réunions du comité de pilotage, 6 documents intermédiaires réalisés par le bureau d’étude (brochure touristique, site Internet sentier découverte de l’île du Rhin… ) et 8 articles de presse ont paru ( Badische Zeitung, bulletin intercommunal de la CCME… ). Il y a également de nombreux projets en cours dans le domaine du tourisme (ex : Création de structures d’hébergement touristique), de l’environnement (ex : création de bandes, liaisons, zones vertes), du transport (développement d’un réseau de transport public), et de la coopération transfrontalière (ex : échanges entre jeunes et associations).
Les résultats sont allés au-delà des espérances prévues puisqu’un réel partenariat a été développé et pérennisé.Le territoire commun des deux secteurs voisins de Marckolsheim (F) et Sasbach (D) devait faire l’objet d’une valorisation écologique et paysagère de l’environnement, avec renforcement du tissu économique. Une étude de faisabilité devait servir à établir des propositions de mise en œuvre sur la base de jonction et de l’intégration des impératifs, liés à la protection de la nature et de l’environnement, à la promotion d’une agriculture et d’une sylviculture à vocation écologique durable, et à la promotion du tourisme. Cette étude devait permettre d’évaluer la faisabilité d’un « Centre de Rencontre et d’Animation Transfrontalier du Rhin Supérieur » comme facteur du développement touristique et paysager.
Il y a eu au total 16 réunions du comité de pilotage, 6 documents intermédiaires réalisés par le bureau d’étude (brochure touristique, site Internet sentier découverte de l’île du Rhin… ) et 8 articles de presse ont paru ( Badische Zeitung, bulletin intercommunal de la CCME… ). Il y a également de nombreux projets en cours dans le domaine du tourisme (ex : Création de structures d’hébergement touristique), de l’environnement (ex : création de bandes, liaisons, zones vertes), du transport (développement d’un réseau de transport public), et de la coopération transfrontalière (ex : échanges entre jeunes et associations).
Les résultats sont allés au-delà des espérances prévues puisqu’un réel partenariat a été développé et pérennisé.Le territoire commun des deux secteurs voisins de Marckolsheim (F) et Sasbach (D) devait faire l’objet d’une valorisation écologique et paysagère de l’environnement, avec renforcement du tissu économique. Une étude de faisabilité devait servir à établir des propositions de mise en œuvre sur la base de jonction et de l’intégration des impératifs, liés à la protection de la nature et de l’environnement, à la promotion d’une agriculture et d’une sylviculture à vocation écologique durable, et à la promotion du tourisme. Cette étude devait permettre d’évaluer la faisabilité d’un « Centre de Rencontre et d’Animation Transfrontalier du Rhin Supérieur » comme facteur du développement touristique et paysager.
Il y a eu au total 16 réunions du comité de pilotage, 6 documents intermédiaires réalisés par le bureau d’étude (brochure touristique, site Internet sentier découverte de l’île du Rhin… ) et 8 articles de presse ont paru ( Badische Zeitung, bulletin intercommunal de la CCME… ). Il y a également de nombreux projets en cours dans le domaine du tourisme (ex : Création de structures d’hébergement touristique), de l’environnement (ex : création de bandes, liaisons, zones vertes), du transport (développement d’un réseau de transport public), et de la coopération transfrontalière (ex : échanges entre jeunes et associations).
Les résultats sont allés au-delà des espérances prévues puisqu’un réel partenariat a été développé et pérennisé.Le territoire commun des deux secteurs voisins de Marckolsheim (F) et Sasbach (D) devait faire l’objet d’une valorisation écologique et paysagère de l’environnement, avec renforcement du tissu économique. Une étude de faisabilité devait servir à établir des propositions de mise en œuvre sur la base de jonction et de l’intégration des impératifs, liés à la protection de la nature et de l’environnement, à la promotion d’une agriculture et d’une sylviculture à vocation écologique durable, et à la promotion du tourisme. Cette étude devait permettre d’évaluer la faisabilité d’un « Centre de Rencontre et d’Animation Transfrontalier du Rhin Supérieur » comme facteur du développement touristique et paysager.
Il y a eu au total 16 réunions du comité de pilotage, 6 documents intermédiaires réalisés par le bureau d’étude (brochure touristique, site Internet sentier découverte de l’île du Rhin… ) et 8 articles de presse ont paru ( Badische Zeitung, bulletin intercommunal de la CCME… ). Il y a également de nombreux projets en cours dans le domaine du tourisme (ex : Création de structures d’hébergement touristique), de l’environnement (ex : création de bandes, liaisons, zones vertes), du transport (développement d’un réseau de transport public), et de la coopération transfrontalière (ex : échanges entre jeunes et associations).
Les résultats sont allés au-delà des espérances prévues puisqu’un réel partenariat a été développé et pérennisé.Le territoire commun des deux secteurs voisins de Marckolsheim (F) et Sasbach (D) devait faire l’objet d’une valorisation écologique et paysagère de l’environnement, avec renforcement du tissu économique. Une étude de faisabilité devait servir à établir des propositions de mise en œuvre sur la base de jonction et de l’intégration des impératifs, liés à la protection de la nature et de l’environnement, à la promotion d’une agriculture et d’une sylviculture à vocation écologique durable, et à la promotion du tourisme. Cette étude devait permettre d’évaluer la faisabilité d’un « Centre de Rencontre et d’Animation Transfrontalier du Rhin Supérieur » comme facteur du développement touristique et paysager.
Il y a eu au total 16 réunions du comité de pilotage, 6 documents intermédiaires réalisés par le bureau d’étude (brochure touristique, site Internet sentier découverte de l’île du Rhin… ) et 8 articles de presse ont paru ( Badische Zeitung, bulletin intercommunal de la CCME… ). Il y a également de nombreux projets en cours dans le domaine du tourisme (ex : Création de structures d’hébergement touristique), de l’environnement (ex : création de bandes, liaisons, zones vertes), du transport (développement d’un réseau de transport public), et de la coopération transfrontalière (ex : échanges entre jeunes et associations).
Les résultats sont allés au-delà des espérances prévues puisqu’un réel partenariat a été développé et pérennisé.Le territoire commun des deux secteurs voisins de Marckolsheim (F) et Sasbach (D) devait faire l’objet d’une valorisation écologique et paysagère de l’environnement, avec renforcement du tissu économique. Une étude de faisabilité devait servir à établir des propositions de mise en œuvre sur la base de jonction et de l’intégration des impératifs, liés à la protection de la nature et de l’environnement, à la promotion d’une agriculture et d’une sylviculture à vocation écologique durable, et à la promotion du tourisme. Cette étude devait permettre d’évaluer la faisabilité d’un « Centre de Rencontre et d’Animation Transfrontalier du Rhin Supérieur » comme facteur du développement touristique et paysager.
Il y a eu au total 16 réunions du comité de pilotage, 6 documents intermédiaires réalisés par le bureau d’étude (brochure touristique, site Internet sentier découverte de l’île du Rhin… ) et 8 articles de presse ont paru ( Badische Zeitung, bulletin intercommunal de la CCME… ). Il y a également de nombreux projets en cours dans le domaine du tourisme (ex : Création de structures d’hébergement touristique), de l’environnement (ex : création de bandes, liaisons, zones vertes), du transport (développement d’un réseau de transport public), et de la coopération transfrontalière (ex : échanges entre jeunes et associations).
Les résultats sont allés au-delà des espérances prévues puisqu’un réel partenariat a été développé et pérennisé.


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« Regiobogen » : une ceinture verte trinationale dans la Région des Trois frontières, France, Allemagne, Suisse

Publié par Adipso le mercredi 10 septembre 2025

« Regiobogen » : une ceinture verte trinationale dans la Région des Trois frontières, France, Allemagne, Suisse

Le groupe de projet « Regiobogen », adjoint au cercle de travail  » Nature » du Centre Ecologique Trinational, était composé de 14 représentants des autorités et associations de France, Suisse et Allemagne engagées dans la protection de la nature ainsi qu’une directrice de projet depuis avril 2000. Les résultats obtenus ont été présentés aux communes, ce qui valut au groupe d’être reconnu et d’obtenir un soutien pour la continuation de son travail.
La collaboration avec l’université de Bâle s’est déroulée à plusieurs niveaux, tout en s’amplifiant. Un rassemblement de toutes les bases de planification des trois pays a été effectué et ceci a permis l’élaboration de cartes indiquant la situation actuelle du réseau de biotope. Le profil d’exigences nécessaires à l’élaboration du système d’information géographique(SIG) a été défini.
L’ébauche a été dressée et fut discutée par le groupe de travail de concert avec les offices compétents dans les trois pays.Le groupe de projet « Regiobogen », adjoint au cercle de travail  » Nature » du Centre Ecologique Trinational, était composé de 14 représentants des autorités et associations de France, Suisse et Allemagne engagées dans la protection de la nature ainsi qu’une directrice de projet depuis avril 2000. Les résultats obtenus ont été présentés aux communes, ce qui valut au groupe d’être reconnu et d’obtenir un soutien pour la continuation de son travail.
La collaboration avec l’université de Bâle s’est déroulée à plusieurs niveaux, tout en s’amplifiant. Un rassemblement de toutes les bases de planification des trois pays a été effectué et ceci a permis l’élaboration de cartes indiquant la situation actuelle du réseau de biotope. Le profil d’exigences nécessaires à l’élaboration du système d’information géographique(SIG) a été défini.
L’ébauche a été dressée et fut discutée par le groupe de travail de concert avec les offices compétents dans les trois pays.Le groupe de projet « Regiobogen », adjoint au cercle de travail  » Nature » du Centre Ecologique Trinational, était composé de 14 représentants des autorités et associations de France, Suisse et Allemagne engagées dans la protection de la nature ainsi qu’une directrice de projet depuis avril 2000. Les résultats obtenus ont été présentés aux communes, ce qui valut au groupe d’être reconnu et d’obtenir un soutien pour la continuation de son travail.
La collaboration avec l’université de Bâle s’est déroulée à plusieurs niveaux, tout en s’amplifiant. Un rassemblement de toutes les bases de planification des trois pays a été effectué et ceci a permis l’élaboration de cartes indiquant la situation actuelle du réseau de biotope. Le profil d’exigences nécessaires à l’élaboration du système d’information géographique(SIG) a été défini.
L’ébauche a été dressée et fut discutée par le groupe de travail de concert avec les offices compétents dans les trois pays.Le groupe de projet « Regiobogen », adjoint au cercle de travail  » Nature » du Centre Ecologique Trinational, était composé de 14 représentants des autorités et associations de France, Suisse et Allemagne engagées dans la protection de la nature ainsi qu’une directrice de projet depuis avril 2000. Les résultats obtenus ont été présentés aux communes, ce qui valut au groupe d’être reconnu et d’obtenir un soutien pour la continuation de son travail.
La collaboration avec l’université de Bâle s’est déroulée à plusieurs niveaux, tout en s’amplifiant. Un rassemblement de toutes les bases de planification des trois pays a été effectué et ceci a permis l’élaboration de cartes indiquant la situation actuelle du réseau de biotope. Le profil d’exigences nécessaires à l’élaboration du système d’information géographique(SIG) a été défini.
L’ébauche a été dressée et fut discutée par le groupe de travail de concert avec les offices compétents dans les trois pays.Le groupe de projet « Regiobogen », adjoint au cercle de travail  » Nature » du Centre Ecologique Trinational, était composé de 14 représentants des autorités et associations de France, Suisse et Allemagne engagées dans la protection de la nature ainsi qu’une directrice de projet depuis avril 2000. Les résultats obtenus ont été présentés aux communes, ce qui valut au groupe d’être reconnu et d’obtenir un soutien pour la continuation de son travail.
La collaboration avec l’université de Bâle s’est déroulée à plusieurs niveaux, tout en s’amplifiant. Un rassemblement de toutes les bases de planification des trois pays a été effectué et ceci a permis l’élaboration de cartes indiquant la situation actuelle du réseau de biotope. Le profil d’exigences nécessaires à l’élaboration du système d’information géographique(SIG) a été défini.
L’ébauche a été dressée et fut discutée par le groupe de travail de concert avec les offices compétents dans les trois pays.Le groupe de projet « Regiobogen », adjoint au cercle de travail  » Nature » du Centre Ecologique Trinational, était composé de 14 représentants des autorités et associations de France, Suisse et Allemagne engagées dans la protection de la nature ainsi qu’une directrice de projet depuis avril 2000. Les résultats obtenus ont été présentés aux communes, ce qui valut au groupe d’être reconnu et d’obtenir un soutien pour la continuation de son travail.
La collaboration avec l’université de Bâle s’est déroulée à plusieurs niveaux, tout en s’amplifiant. Un rassemblement de toutes les bases de planification des trois pays a été effectué et ceci a permis l’élaboration de cartes indiquant la situation actuelle du réseau de biotope. Le profil d’exigences nécessaires à l’élaboration du système d’information géographique(SIG) a été défini.
L’ébauche a été dressée et fut discutée par le groupe de travail de concert avec les offices compétents dans les trois pays.Le groupe de projet « Regiobogen », adjoint au cercle de travail  » Nature » du Centre Ecologique Trinational, était composé de 14 représentants des autorités et associations de France, Suisse et Allemagne engagées dans la protection de la nature ainsi qu’une directrice de projet depuis avril 2000. Les résultats obtenus ont été présentés aux communes, ce qui valut au groupe d’être reconnu et d’obtenir un soutien pour la continuation de son travail.
La collaboration avec l’université de Bâle s’est déroulée à plusieurs niveaux, tout en s’amplifiant. Un rassemblement de toutes les bases de planification des trois pays a été effectué et ceci a permis l’élaboration de cartes indiquant la situation actuelle du réseau de biotope. Le profil d’exigences nécessaires à l’élaboration du système d’information géographique(SIG) a été défini.
L’ébauche a été dressée et fut discutée par le groupe de travail de concert avec les offices compétents dans les trois pays.


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Cartographie hydrogéologique du fossé rhénan

Publié par Adipso le mercredi 10 septembre 2025

Cartographie hydrogéologique du fossé rhénan

Le projet visait l’établissement de protocoles d’échange d’informations et comparaison des données hydrogéologiques disponibles dans le Bade-Wurtemberg et en Alsace, ainsi que la production d’une carte piézométrique transfrontalière. Cette réalisation supposait une maîtrise des difficultés liées aux différents systèmes altimétriques et planimétriques, de prolonger côté français des coupes géologiques qui existaient en Allemagne, mais aussi de définir un cahier des charges précis pour la réalisation d’une cartographie complète de la nappe, de ses caractéristiques hydrogéologiques et de la qualité de ses eaux.


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Aménagement écologique et touristique du Plan d’eau de Courtavon

Publié par Adipso le mercredi 10 septembre 2025

Aménagement écologique et touristique du Plan d’eau de Courtavon

Le projet visait d’une part, la création d’un complexe transfrontalier de loisirs comprenant des équipements de baignade, de pêche et de canotage, et des équipements d’accueil pour le camping et le caravaning, et d’autre part, la restauration biologique de l’écosystème humide avec création d’une rhisosphère en bout de l’étang de Courtavon.


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Reconnaissance transfrontalière de l’aquifère profond dans la bande rhénane entre Fessenheim-Breisach

Publié par Adipso le mercredi 10 septembre 2025

Reconnaissance transfrontalière de l’aquifère profond dans la bande rhénane entre Fessenheim-Breisach

Le projet visait à reconnaître plus précisément la morphologie de la nappe et la nature des alluvions profondes. Les travaux prévus étaient les suivants :
– Collecte et saisie de données indépendamment du maillage et modélisation régionale en régime transitoire du secteur d’étude transfrontalier
– Modélisation de l’écoulement densitaire des eaux salées
La cartographie transfrontalière géologique et hydrogéologique et les profils géologiques ont été mis à jour. Un modèle hydrodynamique régional 3D multicouche a été mis au point pour modéliser le transport de la salure en prenant en compte l’effet densitaire, et a été calé en fonction des données acquises. Des premières simulations préliminaires de l’écoulement de la salure ont pu être réalisées. Il faut cependant remarquer qu’il a été difficile de réaliser les deux forages profonds de Hartheim (D) et Nambsheim (F) dans les contraintes de durée du projet car les conditions géologiques ont été plus difficiles que prévu.
Il s’est établi au cours du déroulement du projet un partenariat amical et efficace entre les différents acteurs.


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ITADA 2 bis

Publié par Adipso le mercredi 10 septembre 2025

ITADA 2 bis

Le projet avait pour objectif de développer, d’évaluer et d’introduire des systèmes de production agricole respectueux de l’environnement.
Les objectifs recherchés ont été atteints, et le partenariat s’est poursuivi. En plus du travail réalisé, 5 grandes manifestations communes ont été organisées.

Le travail de l’ITADA permet d’établir un trait d’union entre la recherche et les institutions de conseil agricole.


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ITADA 2 : Institut transfrontalier d’application et de développement agronomique

Publié par Adipso le mercredi 10 septembre 2025

ITADA 2 : Institut transfrontalier d’application et de développement agronomique

Le projet avait pour objectif de développer, d’évaluer et d’introduire des systèmes de production agricole respectueux de l’environnement.
Les objectifs prévus ont été réalisés avec succès et les connaissances acquises ont pu être mises en pratique sur le terrain.

Les apports du projet concernent à la fois les pratiques de mise en culture, les systèmes d’exploitation, le développement des marchés de certains produits issus d’une agriculture respectueuse de l’environnement, etc.


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Dépérissement forestier en vallée du Rhin

Publié par Adipso le mercredi 10 septembre 2025

Dépérissement forestier en vallée du Rhin

Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.


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