Optimisation du rôle de la forêt dans la protection des petits cours d’eau et des zones humides
Optimisation du rôle de la forêt dans la protection des petits cours d’eau et des zones humides
Publié par Adipso le samedi 19 juillet 2025
Le projet avait pour objectif d’étudier les interactions entre gestion forestière et milieux aquatiques dans les forêts de moyenne montagne du bassin rhénan moyen. Il s’agissait également de décrire et d’évaluer de manière transfrontalière la contribution de la forêt à l’amélioration de la qualité de l’eau.
Les objectifs détaillés étaient les suivants :
– Améliorer la connaissance des milieux aquatiques forestiers et évaluer l’influence de la gestion forestière sur ces milieux,
– Proposer des actions concrètes de restauration et de protection des milieux aquatiques,
– Evaluer d’un point de vue économique le coût des mesures à mettre en œuvre pour une gestion forestière respectueuse de l’eau,
– Sensibiliser et former les gestionnaires, propriétaires et exploitants forestiers.
Les opérations prévues ont directement été animées par une équipe de 16 opérateurs regroupant des scientifiques, des gestionnaires forestiers et des administrateurs.
Outre les échanges et le partage de compétences, ces travaux ont permis de mobiliser un nombre important de gestionnaires forestiers à travers des études de terrain et les formations. La dynamique instaurée pourra se poursuivre grâce aux supports de sensibilisation construits durant le projet.
Les actions prévues se sont notamment concrétisées via une série de chantiers pilotes de restauration de milieux aquatiques. Cette approche a été complétée par une analyse économique qui permet de préciser les coûts liés à une gestion forestière orientée eau.Le projet avait pour objectif d’étudier les interactions entre gestion forestière et milieux aquatiques dans les forêts de moyenne montagne du bassin rhénan moyen. Il s’agissait également de décrire et d’évaluer de manière transfrontalière la contribution de la forêt à l’amélioration de la qualité de l’eau.
Les objectifs détaillés étaient les suivants :
– Améliorer la connaissance des milieux aquatiques forestiers et évaluer l’influence de la gestion forestière sur ces milieux,
– Proposer des actions concrètes de restauration et de protection des milieux aquatiques,
– Evaluer d’un point de vue économique le coût des mesures à mettre en œuvre pour une gestion forestière respectueuse de l’eau,
– Sensibiliser et former les gestionnaires, propriétaires et exploitants forestiers.
Les opérations prévues ont directement été animées par une équipe de 16 opérateurs regroupant des scientifiques, des gestionnaires forestiers et des administrateurs.
Outre les échanges et le partage de compétences, ces travaux ont permis de mobiliser un nombre important de gestionnaires forestiers à travers des études de terrain et les formations. La dynamique instaurée pourra se poursuivre grâce aux supports de sensibilisation construits durant le projet.
Les actions prévues se sont notamment concrétisées via une série de chantiers pilotes de restauration de milieux aquatiques. Cette approche a été complétée par une analyse économique qui permet de préciser les coûts liés à une gestion forestière orientée eau.Le projet avait pour objectif d’étudier les interactions entre gestion forestière et milieux aquatiques dans les forêts de moyenne montagne du bassin rhénan moyen. Il s’agissait également de décrire et d’évaluer de manière transfrontalière la contribution de la forêt à l’amélioration de la qualité de l’eau.
Les objectifs détaillés étaient les suivants :
– Améliorer la connaissance des milieux aquatiques forestiers et évaluer l’influence de la gestion forestière sur ces milieux,
– Proposer des actions concrètes de restauration et de protection des milieux aquatiques,
– Evaluer d’un point de vue économique le coût des mesures à mettre en œuvre pour une gestion forestière respectueuse de l’eau,
– Sensibiliser et former les gestionnaires, propriétaires et exploitants forestiers.
Les opérations prévues ont directement été animées par une équipe de 16 opérateurs regroupant des scientifiques, des gestionnaires forestiers et des administrateurs.
Outre les échanges et le partage de compétences, ces travaux ont permis de mobiliser un nombre important de gestionnaires forestiers à travers des études de terrain et les formations. La dynamique instaurée pourra se poursuivre grâce aux supports de sensibilisation construits durant le projet.
Les actions prévues se sont notamment concrétisées via une série de chantiers pilotes de restauration de milieux aquatiques. Cette approche a été complétée par une analyse économique qui permet de préciser les coûts liés à une gestion forestière orientée eau.Le projet avait pour objectif d’étudier les interactions entre gestion forestière et milieux aquatiques dans les forêts de moyenne montagne du bassin rhénan moyen. Il s’agissait également de décrire et d’évaluer de manière transfrontalière la contribution de la forêt à l’amélioration de la qualité de l’eau.
Les objectifs détaillés étaient les suivants :
– Améliorer la connaissance des milieux aquatiques forestiers et évaluer l’influence de la gestion forestière sur ces milieux,
– Proposer des actions concrètes de restauration et de protection des milieux aquatiques,
– Evaluer d’un point de vue économique le coût des mesures à mettre en œuvre pour une gestion forestière respectueuse de l’eau,
– Sensibiliser et former les gestionnaires, propriétaires et exploitants forestiers.
Les opérations prévues ont directement été animées par une équipe de 16 opérateurs regroupant des scientifiques, des gestionnaires forestiers et des administrateurs.
Outre les échanges et le partage de compétences, ces travaux ont permis de mobiliser un nombre important de gestionnaires forestiers à travers des études de terrain et les formations. La dynamique instaurée pourra se poursuivre grâce aux supports de sensibilisation construits durant le projet.
Les actions prévues se sont notamment concrétisées via une série de chantiers pilotes de restauration de milieux aquatiques. Cette approche a été complétée par une analyse économique qui permet de préciser les coûts liés à une gestion forestière orientée eau.Le projet avait pour objectif d’étudier les interactions entre gestion forestière et milieux aquatiques dans les forêts de moyenne montagne du bassin rhénan moyen. Il s’agissait également de décrire et d’évaluer de manière transfrontalière la contribution de la forêt à l’amélioration de la qualité de l’eau.
Les objectifs détaillés étaient les suivants :
– Améliorer la connaissance des milieux aquatiques forestiers et évaluer l’influence de la gestion forestière sur ces milieux,
– Proposer des actions concrètes de restauration et de protection des milieux aquatiques,
– Evaluer d’un point de vue économique le coût des mesures à mettre en œuvre pour une gestion forestière respectueuse de l’eau,
– Sensibiliser et former les gestionnaires, propriétaires et exploitants forestiers.
Les opérations prévues ont directement été animées par une équipe de 16 opérateurs regroupant des scientifiques, des gestionnaires forestiers et des administrateurs.
Outre les échanges et le partage de compétences, ces travaux ont permis de mobiliser un nombre important de gestionnaires forestiers à travers des études de terrain et les formations. La dynamique instaurée pourra se poursuivre grâce aux supports de sensibilisation construits durant le projet.
Les actions prévues se sont notamment concrétisées via une série de chantiers pilotes de restauration de milieux aquatiques. Cette approche a été complétée par une analyse économique qui permet de préciser les coûts liés à une gestion forestière orientée eau.Le projet avait pour objectif d’étudier les interactions entre gestion forestière et milieux aquatiques dans les forêts de moyenne montagne du bassin rhénan moyen. Il s’agissait également de décrire et d’évaluer de manière transfrontalière la contribution de la forêt à l’amélioration de la qualité de l’eau.
Les objectifs détaillés étaient les suivants :
– Améliorer la connaissance des milieux aquatiques forestiers et évaluer l’influence de la gestion forestière sur ces milieux,
– Proposer des actions concrètes de restauration et de protection des milieux aquatiques,
– Evaluer d’un point de vue économique le coût des mesures à mettre en œuvre pour une gestion forestière respectueuse de l’eau,
– Sensibiliser et former les gestionnaires, propriétaires et exploitants forestiers.
Les opérations prévues ont directement été animées par une équipe de 16 opérateurs regroupant des scientifiques, des gestionnaires forestiers et des administrateurs.
Outre les échanges et le partage de compétences, ces travaux ont permis de mobiliser un nombre important de gestionnaires forestiers à travers des études de terrain et les formations. La dynamique instaurée pourra se poursuivre grâce aux supports de sensibilisation construits durant le projet.
Les actions prévues se sont notamment concrétisées via une série de chantiers pilotes de restauration de milieux aquatiques. Cette approche a été complétée par une analyse économique qui permet de préciser les coûts liés à une gestion forestière orientée eau.
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Revitalisation du Taubergiessen – Le vieux Rhin avec une nouvelle dynamique
Publié par Adipso le samedi 19 juillet 2025
L’objectif de ce projet a été l’amélioration écologique de la plaine alluviale du Rhin à l’intérieur de la réserve naturelle du Taubergiessen.
Compte tenu des conditions aux limites actuelles, la dynamique avec des battements de niveaux d’eau est à restaurer, les giessens à réhabiliter et le lit du cours d’eau « Taubergiessen » à remodeler. L’objectif est de parvenir à une amélioration de la circulation de l’eau.
Des animaux nécessitant de vastes habitats profiteront de ces impacts sur une grande superficie en plus des mesures déjà réalisées sur l’Île de Rhinau.
Dans le but de réaliser les objectifs fixés, le projet s’est doté d’un comité de pilotage efficace qui a défini la planification des constructions et étudié leurs impacts.
La coopération interdisciplinaire et transfrontalière a conduit à un transfert de compétences massif entre les citoyens, les organisations non gouvernementales et les administrations des deux côtés du Rhin.
Les objectifs écologiques du projet ont été atteints par différents biais :
– Abaissement des digues et des rives du Leopoldskanal et du Rhin.
– Elimination de traverses et amélioration de la praticabilité
– Réhabilitation de Giessens
– Dynamisation des conditions d’écoulements
Les milieux créés offrent désormais un fort potentiel en particulier pour les espèces intéressantes pour le suivi écologique.
Lors de différentes visites il a été possible d’observer à nouveau des espèces en danger.
Les cours d’eau situés dans la zone de la plaine alluviale sont à nouveau liés à la dynamique des fleuves et rivières, ce qui a amélioré la qualité de l’eau.
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Regiodemocentre
Publié par Adipso le samedi 19 juillet 2025
Les objectifs de ce projet étaient les suivants:
– Etablir des contacts commerciaux et des partenariats avec l’industrie et les centres de recherche allemands et français,
– Développer des produits de présentation dans les domaines de l’optoélectronique et de la photonique,
– Transférer les résultats du développement technologique.
Le projet a été réalisé comme prévu. Tous les prototypes décidés au départ du projet ont été exécutés. Ils ont été rendus disponibles dans les locaux du Regiodemocentre ou dans les laboratoires. Le nombre des séminaires, conférences et formations dans les deux universités a augmenté de façon significative. Quelques-uns ont été établis comme des événements permanents. La qualité des contacts établis avec l’industrie a été très bénéfique pour les industriels mais aussi pour les étudiants des deux universités. Le volume des contrats du Laboratoire des Systèmes Photoniques a pu être augmenté de 143%.Les objectifs de ce projet étaient les suivants:
– Etablir des contacts commerciaux et des partenariats avec l’industrie et les centres de recherche allemands et français,
– Développer des produits de présentation dans les domaines de l’optoélectronique et de la photonique,
– Transférer les résultats du développement technologique.
Le projet a été réalisé comme prévu. Tous les prototypes décidés au départ du projet ont été exécutés. Ils ont été rendus disponibles dans les locaux du Regiodemocentre ou dans les laboratoires. Le nombre des séminaires, conférences et formations dans les deux universités a augmenté de façon significative. Quelques-uns ont été établis comme des événements permanents. La qualité des contacts établis avec l’industrie a été très bénéfique pour les industriels mais aussi pour les étudiants des deux universités. Le volume des contrats du Laboratoire des Systèmes Photoniques a pu être augmenté de 143%.Les objectifs de ce projet étaient les suivants:
– Etablir des contacts commerciaux et des partenariats avec l’industrie et les centres de recherche allemands et français,
– Développer des produits de présentation dans les domaines de l’optoélectronique et de la photonique,
– Transférer les résultats du développement technologique.
Le projet a été réalisé comme prévu. Tous les prototypes décidés au départ du projet ont été exécutés. Ils ont été rendus disponibles dans les locaux du Regiodemocentre ou dans les laboratoires. Le nombre des séminaires, conférences et formations dans les deux universités a augmenté de façon significative. Quelques-uns ont été établis comme des événements permanents. La qualité des contacts établis avec l’industrie a été très bénéfique pour les industriels mais aussi pour les étudiants des deux universités. Le volume des contrats du Laboratoire des Systèmes Photoniques a pu être augmenté de 143%.Les objectifs de ce projet étaient les suivants:
– Etablir des contacts commerciaux et des partenariats avec l’industrie et les centres de recherche allemands et français,
– Développer des produits de présentation dans les domaines de l’optoélectronique et de la photonique,
– Transférer les résultats du développement technologique.
Le projet a été réalisé comme prévu. Tous les prototypes décidés au départ du projet ont été exécutés. Ils ont été rendus disponibles dans les locaux du Regiodemocentre ou dans les laboratoires. Le nombre des séminaires, conférences et formations dans les deux universités a augmenté de façon significative. Quelques-uns ont été établis comme des événements permanents. La qualité des contacts établis avec l’industrie a été très bénéfique pour les industriels mais aussi pour les étudiants des deux universités. Le volume des contrats du Laboratoire des Systèmes Photoniques a pu être augmenté de 143%.Les objectifs de ce projet étaient les suivants:
– Etablir des contacts commerciaux et des partenariats avec l’industrie et les centres de recherche allemands et français,
– Développer des produits de présentation dans les domaines de l’optoélectronique et de la photonique,
– Transférer les résultats du développement technologique.
Le projet a été réalisé comme prévu. Tous les prototypes décidés au départ du projet ont été exécutés. Ils ont été rendus disponibles dans les locaux du Regiodemocentre ou dans les laboratoires. Le nombre des séminaires, conférences et formations dans les deux universités a augmenté de façon significative. Quelques-uns ont été établis comme des événements permanents. La qualité des contacts établis avec l’industrie a été très bénéfique pour les industriels mais aussi pour les étudiants des deux universités. Le volume des contrats du Laboratoire des Systèmes Photoniques a pu être augmenté de 143%.
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« Regiobogen » : une ceinture verte trinationale dans la Région des Trois frontières, France, Allemagne, Suisse
Publié par Adipso le samedi 19 juillet 2025
Le groupe de projet « Regiobogen », adjoint au cercle de travail » Nature » du Centre Ecologique Trinational, était composé de 14 représentants des autorités et associations de France, Suisse et Allemagne engagées dans la protection de la nature ainsi qu’une directrice de projet depuis avril 2000. Les résultats obtenus ont été présentés aux communes, ce qui valut au groupe d’être reconnu et d’obtenir un soutien pour la continuation de son travail.
La collaboration avec l’université de Bâle s’est déroulée à plusieurs niveaux, tout en s’amplifiant. Un rassemblement de toutes les bases de planification des trois pays a été effectué et ceci a permis l’élaboration de cartes indiquant la situation actuelle du réseau de biotope. Le profil d’exigences nécessaires à l’élaboration du système d’information géographique(SIG) a été défini.
L’ébauche a été dressée et fut discutée par le groupe de travail de concert avec les offices compétents dans les trois pays.Le groupe de projet « Regiobogen », adjoint au cercle de travail » Nature » du Centre Ecologique Trinational, était composé de 14 représentants des autorités et associations de France, Suisse et Allemagne engagées dans la protection de la nature ainsi qu’une directrice de projet depuis avril 2000. Les résultats obtenus ont été présentés aux communes, ce qui valut au groupe d’être reconnu et d’obtenir un soutien pour la continuation de son travail.
La collaboration avec l’université de Bâle s’est déroulée à plusieurs niveaux, tout en s’amplifiant. Un rassemblement de toutes les bases de planification des trois pays a été effectué et ceci a permis l’élaboration de cartes indiquant la situation actuelle du réseau de biotope. Le profil d’exigences nécessaires à l’élaboration du système d’information géographique(SIG) a été défini.
L’ébauche a été dressée et fut discutée par le groupe de travail de concert avec les offices compétents dans les trois pays.Le groupe de projet « Regiobogen », adjoint au cercle de travail » Nature » du Centre Ecologique Trinational, était composé de 14 représentants des autorités et associations de France, Suisse et Allemagne engagées dans la protection de la nature ainsi qu’une directrice de projet depuis avril 2000. Les résultats obtenus ont été présentés aux communes, ce qui valut au groupe d’être reconnu et d’obtenir un soutien pour la continuation de son travail.
La collaboration avec l’université de Bâle s’est déroulée à plusieurs niveaux, tout en s’amplifiant. Un rassemblement de toutes les bases de planification des trois pays a été effectué et ceci a permis l’élaboration de cartes indiquant la situation actuelle du réseau de biotope. Le profil d’exigences nécessaires à l’élaboration du système d’information géographique(SIG) a été défini.
L’ébauche a été dressée et fut discutée par le groupe de travail de concert avec les offices compétents dans les trois pays.Le groupe de projet « Regiobogen », adjoint au cercle de travail » Nature » du Centre Ecologique Trinational, était composé de 14 représentants des autorités et associations de France, Suisse et Allemagne engagées dans la protection de la nature ainsi qu’une directrice de projet depuis avril 2000. Les résultats obtenus ont été présentés aux communes, ce qui valut au groupe d’être reconnu et d’obtenir un soutien pour la continuation de son travail.
La collaboration avec l’université de Bâle s’est déroulée à plusieurs niveaux, tout en s’amplifiant. Un rassemblement de toutes les bases de planification des trois pays a été effectué et ceci a permis l’élaboration de cartes indiquant la situation actuelle du réseau de biotope. Le profil d’exigences nécessaires à l’élaboration du système d’information géographique(SIG) a été défini.
L’ébauche a été dressée et fut discutée par le groupe de travail de concert avec les offices compétents dans les trois pays.Le groupe de projet « Regiobogen », adjoint au cercle de travail » Nature » du Centre Ecologique Trinational, était composé de 14 représentants des autorités et associations de France, Suisse et Allemagne engagées dans la protection de la nature ainsi qu’une directrice de projet depuis avril 2000. Les résultats obtenus ont été présentés aux communes, ce qui valut au groupe d’être reconnu et d’obtenir un soutien pour la continuation de son travail.
La collaboration avec l’université de Bâle s’est déroulée à plusieurs niveaux, tout en s’amplifiant. Un rassemblement de toutes les bases de planification des trois pays a été effectué et ceci a permis l’élaboration de cartes indiquant la situation actuelle du réseau de biotope. Le profil d’exigences nécessaires à l’élaboration du système d’information géographique(SIG) a été défini.
L’ébauche a été dressée et fut discutée par le groupe de travail de concert avec les offices compétents dans les trois pays.Le groupe de projet « Regiobogen », adjoint au cercle de travail » Nature » du Centre Ecologique Trinational, était composé de 14 représentants des autorités et associations de France, Suisse et Allemagne engagées dans la protection de la nature ainsi qu’une directrice de projet depuis avril 2000. Les résultats obtenus ont été présentés aux communes, ce qui valut au groupe d’être reconnu et d’obtenir un soutien pour la continuation de son travail.
La collaboration avec l’université de Bâle s’est déroulée à plusieurs niveaux, tout en s’amplifiant. Un rassemblement de toutes les bases de planification des trois pays a été effectué et ceci a permis l’élaboration de cartes indiquant la situation actuelle du réseau de biotope. Le profil d’exigences nécessaires à l’élaboration du système d’information géographique(SIG) a été défini.
L’ébauche a été dressée et fut discutée par le groupe de travail de concert avec les offices compétents dans les trois pays.Le groupe de projet « Regiobogen », adjoint au cercle de travail » Nature » du Centre Ecologique Trinational, était composé de 14 représentants des autorités et associations de France, Suisse et Allemagne engagées dans la protection de la nature ainsi qu’une directrice de projet depuis avril 2000. Les résultats obtenus ont été présentés aux communes, ce qui valut au groupe d’être reconnu et d’obtenir un soutien pour la continuation de son travail.
La collaboration avec l’université de Bâle s’est déroulée à plusieurs niveaux, tout en s’amplifiant. Un rassemblement de toutes les bases de planification des trois pays a été effectué et ceci a permis l’élaboration de cartes indiquant la situation actuelle du réseau de biotope. Le profil d’exigences nécessaires à l’élaboration du système d’information géographique(SIG) a été défini.
L’ébauche a été dressée et fut discutée par le groupe de travail de concert avec les offices compétents dans les trois pays.
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Cartographie hydrogéologique du fossé rhénan
Publié par Adipso le samedi 19 juillet 2025
Le projet visait l’établissement de protocoles d’échange d’informations et comparaison des données hydrogéologiques disponibles dans le Bade-Wurtemberg et en Alsace, ainsi que la production d’une carte piézométrique transfrontalière. Cette réalisation supposait une maîtrise des difficultés liées aux différents systèmes altimétriques et planimétriques, de prolonger côté français des coupes géologiques qui existaient en Allemagne, mais aussi de définir un cahier des charges précis pour la réalisation d’une cartographie complète de la nappe, de ses caractéristiques hydrogéologiques et de la qualité de ses eaux.
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ITADA 2 : Institut transfrontalier d’application et de développement agronomique
Publié par Adipso le samedi 19 juillet 2025
Le projet avait pour objectif de développer, d’évaluer et d’introduire des systèmes de production agricole respectueux de l’environnement.
Les objectifs prévus ont été réalisés avec succès et les connaissances acquises ont pu être mises en pratique sur le terrain.
Les apports du projet concernent à la fois les pratiques de mise en culture, les systèmes d’exploitation, le développement des marchés de certains produits issus d’une agriculture respectueuse de l’environnement, etc.
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Dépérissement forestier en vallée du Rhin
Publié par Adipso le samedi 19 juillet 2025
Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.
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Exploration des aquifères et des sols dans la vallée du Hochrhein
Publié par Adipso le samedi 19 juillet 2025
Le projet avait pour objet l’exploration des aquifères et des nappes phréatiques dans le remplissage de formations meubles de la vallée du Hochrhein entre Schaffhouse et Bâle en tenant plus particulièrement compte des qualités des sols en vue d’une évaluation des répercussions dues aux prélèvements, aux sinistres, aux installations existantes et aux projets prévus sur la zone d’exploitation d’eau et des sols des deux rives du Hochrhein.
Le projet a été réalisé en conformité avec les objectifs fixés. Pour l’inventaire des documents, l’ensemble des données disponibles a été réuni puis saisi dans les bases de données constituées. Après inventaire, certaines lacunes de données ont été repérées. Les résultats en matière d’hydrogéologie ont été regroupés dans 4 cartes et une représentation de coupe géologique. Les cartes élaborées montrent où se trouvent les zones sensibles. L’utilisation commune d’une base cartographique a nécessité bon nombre de mesures de coordination, d’homogénéisation et de transformation.Le projet avait pour objet l’exploration des aquifères et des nappes phréatiques dans le remplissage de formations meubles de la vallée du Hochrhein entre Schaffhouse et Bâle en tenant plus particulièrement compte des qualités des sols en vue d’une évaluation des répercussions dues aux prélèvements, aux sinistres, aux installations existantes et aux projets prévus sur la zone d’exploitation d’eau et des sols des deux rives du Hochrhein.
Le projet a été réalisé en conformité avec les objectifs fixés. Pour l’inventaire des documents, l’ensemble des données disponibles a été réuni puis saisi dans les bases de données constituées. Après inventaire, certaines lacunes de données ont été repérées. Les résultats en matière d’hydrogéologie ont été regroupés dans 4 cartes et une représentation de coupe géologique. Les cartes élaborées montrent où se trouvent les zones sensibles. L’utilisation commune d’une base cartographique a nécessité bon nombre de mesures de coordination, d’homogénéisation et de transformation.Le projet avait pour objet l’exploration des aquifères et des nappes phréatiques dans le remplissage de formations meubles de la vallée du Hochrhein entre Schaffhouse et Bâle en tenant plus particulièrement compte des qualités des sols en vue d’une évaluation des répercussions dues aux prélèvements, aux sinistres, aux installations existantes et aux projets prévus sur la zone d’exploitation d’eau et des sols des deux rives du Hochrhein.
Le projet a été réalisé en conformité avec les objectifs fixés. Pour l’inventaire des documents, l’ensemble des données disponibles a été réuni puis saisi dans les bases de données constituées. Après inventaire, certaines lacunes de données ont été repérées. Les résultats en matière d’hydrogéologie ont été regroupés dans 4 cartes et une représentation de coupe géologique. Les cartes élaborées montrent où se trouvent les zones sensibles. L’utilisation commune d’une base cartographique a nécessité bon nombre de mesures de coordination, d’homogénéisation et de transformation.Le projet avait pour objet l’exploration des aquifères et des nappes phréatiques dans le remplissage de formations meubles de la vallée du Hochrhein entre Schaffhouse et Bâle en tenant plus particulièrement compte des qualités des sols en vue d’une évaluation des répercussions dues aux prélèvements, aux sinistres, aux installations existantes et aux projets prévus sur la zone d’exploitation d’eau et des sols des deux rives du Hochrhein.
Le projet a été réalisé en conformité avec les objectifs fixés. Pour l’inventaire des documents, l’ensemble des données disponibles a été réuni puis saisi dans les bases de données constituées. Après inventaire, certaines lacunes de données ont été repérées. Les résultats en matière d’hydrogéologie ont été regroupés dans 4 cartes et une représentation de coupe géologique. Les cartes élaborées montrent où se trouvent les zones sensibles. L’utilisation commune d’une base cartographique a nécessité bon nombre de mesures de coordination, d’homogénéisation et de transformation.Le projet avait pour objet l’exploration des aquifères et des nappes phréatiques dans le remplissage de formations meubles de la vallée du Hochrhein entre Schaffhouse et Bâle en tenant plus particulièrement compte des qualités des sols en vue d’une évaluation des répercussions dues aux prélèvements, aux sinistres, aux installations existantes et aux projets prévus sur la zone d’exploitation d’eau et des sols des deux rives du Hochrhein.
Le projet a été réalisé en conformité avec les objectifs fixés. Pour l’inventaire des documents, l’ensemble des données disponibles a été réuni puis saisi dans les bases de données constituées. Après inventaire, certaines lacunes de données ont été repérées. Les résultats en matière d’hydrogéologie ont été regroupés dans 4 cartes et une représentation de coupe géologique. Les cartes élaborées montrent où se trouvent les zones sensibles. L’utilisation commune d’une base cartographique a nécessité bon nombre de mesures de coordination, d’homogénéisation et de transformation.Le projet avait pour objet l’exploration des aquifères et des nappes phréatiques dans le remplissage de formations meubles de la vallée du Hochrhein entre Schaffhouse et Bâle en tenant plus particulièrement compte des qualités des sols en vue d’une évaluation des répercussions dues aux prélèvements, aux sinistres, aux installations existantes et aux projets prévus sur la zone d’exploitation d’eau et des sols des deux rives du Hochrhein.
Le projet a été réalisé en conformité avec les objectifs fixés. Pour l’inventaire des documents, l’ensemble des données disponibles a été réuni puis saisi dans les bases de données constituées. Après inventaire, certaines lacunes de données ont été repérées. Les résultats en matière d’hydrogéologie ont été regroupés dans 4 cartes et une représentation de coupe géologique. Les cartes élaborées montrent où se trouvent les zones sensibles. L’utilisation commune d’une base cartographique a nécessité bon nombre de mesures de coordination, d’homogénéisation et de transformation.Le projet avait pour objet l’exploration des aquifères et des nappes phréatiques dans le remplissage de formations meubles de la vallée du Hochrhein entre Schaffhouse et Bâle en tenant plus particulièrement compte des qualités des sols en vue d’une évaluation des répercussions dues aux prélèvements, aux sinistres, aux installations existantes et aux projets prévus sur la zone d’exploitation d’eau et des sols des deux rives du Hochrhein.
Le projet a été réalisé en conformité avec les objectifs fixés. Pour l’inventaire des documents, l’ensemble des données disponibles a été réuni puis saisi dans les bases de données constituées. Après inventaire, certaines lacunes de données ont été repérées. Les résultats en matière d’hydrogéologie ont été regroupés dans 4 cartes et une représentation de coupe géologique. Les cartes élaborées montrent où se trouvent les zones sensibles. L’utilisation commune d’une base cartographique a nécessité bon nombre de mesures de coordination, d’homogénéisation et de transformation.Le projet avait pour objet l’exploration des aquifères et des nappes phréatiques dans le remplissage de formations meubles de la vallée du Hochrhein entre Schaffhouse et Bâle en tenant plus particulièrement compte des qualités des sols en vue d’une évaluation des répercussions dues aux prélèvements, aux sinistres, aux installations existantes et aux projets prévus sur la zone d’exploitation d’eau et des sols des deux rives du Hochrhein.
Le projet a été réalisé en conformité avec les objectifs fixés. Pour l’inventaire des documents, l’ensemble des données disponibles a été réuni puis saisi dans les bases de données constituées. Après inventaire, certaines lacunes de données ont été repérées. Les résultats en matière d’hydrogéologie ont été regroupés dans 4 cartes et une représentation de coupe géologique. Les cartes élaborées montrent où se trouvent les zones sensibles. L’utilisation commune d’une base cartographique a nécessité bon nombre de mesures de coordination, d’homogénéisation et de transformation.
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Analyse comparative de la vitalité des arbres en milieu urbain et en environnement naturel
Publié par Adipso le samedi 19 juillet 2025
Ce projet, d’une durée de deux ans, comprenait deux phases principales:
– la phase 1 du projet était consacrée à la mise au point et à la réalisation d’un système de mesure autonome et mobile.
– La phase 2 était consacrée aux campagnes de mesure avec l’appareillage mobile de routine, d’une part, et avec les méthodes d’analyses utilisées par les équipes Körner, Rennenberg et Strasser.
Les travaux prévus ont été réalisés. Tout d’abord on a construit le système de mesure d’échanges gazeux, avec lequel des mesures ont été effectuées d’abord en serre sous conditions contrôlées puis en pleine nature, en ville et en forêt. Ainsi tous les travaux ont été menés pour la réalisation des objectifs techniques et scientifiques. Le groupe suisse s’est consacré essentiellement aux mesures de vitalité des arbres in situ, dans la région de Bâle et de Bruxelles. Une collaboration dans le cadre de différents projets de recherche a eu lieu.
La station d’analyse de fluorescence laser autonome et mobile a été construite conformément au descriptif de la convention particulière. Cependant, le laser a été livré en retard et la station n’est devenue opérationnelle qu’en août 2000. Ce retard a eu pour conséquence de condamner la première campagne de mesure et de réduire très sérieusement la durée de validation.
Le partenariat a fonctionné de manière très satisfaisante et a permis la réalisation du projet avec succès.Ce projet, d’une durée de deux ans, comprenait deux phases principales:
– la phase 1 du projet était consacrée à la mise au point et à la réalisation d’un système de mesure autonome et mobile.
– La phase 2 était consacrée aux campagnes de mesure avec l’appareillage mobile de routine, d’une part, et avec les méthodes d’analyses utilisées par les équipes Körner, Rennenberg et Strasser.
Les travaux prévus ont été réalisés. Tout d’abord on a construit le système de mesure d’échanges gazeux, avec lequel des mesures ont été effectuées d’abord en serre sous conditions contrôlées puis en pleine nature, en ville et en forêt. Ainsi tous les travaux ont été menés pour la réalisation des objectifs techniques et scientifiques. Le groupe suisse s’est consacré essentiellement aux mesures de vitalité des arbres in situ, dans la région de Bâle et de Bruxelles. Une collaboration dans le cadre de différents projets de recherche a eu lieu.
La station d’analyse de fluorescence laser autonome et mobile a été construite conformément au descriptif de la convention particulière. Cependant, le laser a été livré en retard et la station n’est devenue opérationnelle qu’en août 2000. Ce retard a eu pour conséquence de condamner la première campagne de mesure et de réduire très sérieusement la durée de validation.
Le partenariat a fonctionné de manière très satisfaisante et a permis la réalisation du projet avec succès.Ce projet, d’une durée de deux ans, comprenait deux phases principales:
– la phase 1 du projet était consacrée à la mise au point et à la réalisation d’un système de mesure autonome et mobile.
– La phase 2 était consacrée aux campagnes de mesure avec l’appareillage mobile de routine, d’une part, et avec les méthodes d’analyses utilisées par les équipes Körner, Rennenberg et Strasser.
Les travaux prévus ont été réalisés. Tout d’abord on a construit le système de mesure d’échanges gazeux, avec lequel des mesures ont été effectuées d’abord en serre sous conditions contrôlées puis en pleine nature, en ville et en forêt. Ainsi tous les travaux ont été menés pour la réalisation des objectifs techniques et scientifiques. Le groupe suisse s’est consacré essentiellement aux mesures de vitalité des arbres in situ, dans la région de Bâle et de Bruxelles. Une collaboration dans le cadre de différents projets de recherche a eu lieu.
La station d’analyse de fluorescence laser autonome et mobile a été construite conformément au descriptif de la convention particulière. Cependant, le laser a été livré en retard et la station n’est devenue opérationnelle qu’en août 2000. Ce retard a eu pour conséquence de condamner la première campagne de mesure et de réduire très sérieusement la durée de validation.
Le partenariat a fonctionné de manière très satisfaisante et a permis la réalisation du projet avec succès.Ce projet, d’une durée de deux ans, comprenait deux phases principales:
– la phase 1 du projet était consacrée à la mise au point et à la réalisation d’un système de mesure autonome et mobile.
– La phase 2 était consacrée aux campagnes de mesure avec l’appareillage mobile de routine, d’une part, et avec les méthodes d’analyses utilisées par les équipes Körner, Rennenberg et Strasser.
Les travaux prévus ont été réalisés. Tout d’abord on a construit le système de mesure d’échanges gazeux, avec lequel des mesures ont été effectuées d’abord en serre sous conditions contrôlées puis en pleine nature, en ville et en forêt. Ainsi tous les travaux ont été menés pour la réalisation des objectifs techniques et scientifiques. Le groupe suisse s’est consacré essentiellement aux mesures de vitalité des arbres in situ, dans la région de Bâle et de Bruxelles. Une collaboration dans le cadre de différents projets de recherche a eu lieu.
La station d’analyse de fluorescence laser autonome et mobile a été construite conformément au descriptif de la convention particulière. Cependant, le laser a été livré en retard et la station n’est devenue opérationnelle qu’en août 2000. Ce retard a eu pour conséquence de condamner la première campagne de mesure et de réduire très sérieusement la durée de validation.
Le partenariat a fonctionné de manière très satisfaisante et a permis la réalisation du projet avec succès.Ce projet, d’une durée de deux ans, comprenait deux phases principales:
– la phase 1 du projet était consacrée à la mise au point et à la réalisation d’un système de mesure autonome et mobile.
– La phase 2 était consacrée aux campagnes de mesure avec l’appareillage mobile de routine, d’une part, et avec les méthodes d’analyses utilisées par les équipes Körner, Rennenberg et Strasser.
Les travaux prévus ont été réalisés. Tout d’abord on a construit le système de mesure d’échanges gazeux, avec lequel des mesures ont été effectuées d’abord en serre sous conditions contrôlées puis en pleine nature, en ville et en forêt. Ainsi tous les travaux ont été menés pour la réalisation des objectifs techniques et scientifiques. Le groupe suisse s’est consacré essentiellement aux mesures de vitalité des arbres in situ, dans la région de Bâle et de Bruxelles. Une collaboration dans le cadre de différents projets de recherche a eu lieu.
La station d’analyse de fluorescence laser autonome et mobile a été construite conformément au descriptif de la convention particulière. Cependant, le laser a été livré en retard et la station n’est devenue opérationnelle qu’en août 2000. Ce retard a eu pour conséquence de condamner la première campagne de mesure et de réduire très sérieusement la durée de validation.
Le partenariat a fonctionné de manière très satisfaisante et a permis la réalisation du projet avec succès.Ce projet, d’une durée de deux ans, comprenait deux phases principales:
– la phase 1 du projet était consacrée à la mise au point et à la réalisation d’un système de mesure autonome et mobile.
– La phase 2 était consacrée aux campagnes de mesure avec l’appareillage mobile de routine, d’une part, et avec les méthodes d’analyses utilisées par les équipes Körner, Rennenberg et Strasser.
Les travaux prévus ont été réalisés. Tout d’abord on a construit le système de mesure d’échanges gazeux, avec lequel des mesures ont été effectuées d’abord en serre sous conditions contrôlées puis en pleine nature, en ville et en forêt. Ainsi tous les travaux ont été menés pour la réalisation des objectifs techniques et scientifiques. Le groupe suisse s’est consacré essentiellement aux mesures de vitalité des arbres in situ, dans la région de Bâle et de Bruxelles. Une collaboration dans le cadre de différents projets de recherche a eu lieu.
La station d’analyse de fluorescence laser autonome et mobile a été construite conformément au descriptif de la convention particulière. Cependant, le laser a été livré en retard et la station n’est devenue opérationnelle qu’en août 2000. Ce retard a eu pour conséquence de condamner la première campagne de mesure et de réduire très sérieusement la durée de validation.
Le partenariat a fonctionné de manière très satisfaisante et a permis la réalisation du projet avec succès.Ce projet, d’une durée de deux ans, comprenait deux phases principales:
– la phase 1 du projet était consacrée à la mise au point et à la réalisation d’un système de mesure autonome et mobile.
– La phase 2 était consacrée aux campagnes de mesure avec l’appareillage mobile de routine, d’une part, et avec les méthodes d’analyses utilisées par les équipes Körner, Rennenberg et Strasser.
Les travaux prévus ont été réalisés. Tout d’abord on a construit le système de mesure d’échanges gazeux, avec lequel des mesures ont été effectuées d’abord en serre sous conditions contrôlées puis en pleine nature, en ville et en forêt. Ainsi tous les travaux ont été menés pour la réalisation des objectifs techniques et scientifiques. Le groupe suisse s’est consacré essentiellement aux mesures de vitalité des arbres in situ, dans la région de Bâle et de Bruxelles. Une collaboration dans le cadre de différents projets de recherche a eu lieu.
La station d’analyse de fluorescence laser autonome et mobile a été construite conformément au descriptif de la convention particulière. Cependant, le laser a été livré en retard et la station n’est devenue opérationnelle qu’en août 2000. Ce retard a eu pour conséquence de condamner la première campagne de mesure et de réduire très sérieusement la durée de validation.
Le partenariat a fonctionné de manière très satisfaisante et a permis la réalisation du projet avec succès.Ce projet, d’une durée de deux ans, comprenait deux phases principales:
– la phase 1 du projet était consacrée à la mise au point et à la réalisation d’un système de mesure autonome et mobile.
– La phase 2 était consacrée aux campagnes de mesure avec l’appareillage mobile de routine, d’une part, et avec les méthodes d’analyses utilisées par les équipes Körner, Rennenberg et Strasser.
Les travaux prévus ont été réalisés. Tout d’abord on a construit le système de mesure d’échanges gazeux, avec lequel des mesures ont été effectuées d’abord en serre sous conditions contrôlées puis en pleine nature, en ville et en forêt. Ainsi tous les travaux ont été menés pour la réalisation des objectifs techniques et scientifiques. Le groupe suisse s’est consacré essentiellement aux mesures de vitalité des arbres in situ, dans la région de Bâle et de Bruxelles. Une collaboration dans le cadre de différents projets de recherche a eu lieu.
La station d’analyse de fluorescence laser autonome et mobile a été construite conformément au descriptif de la convention particulière. Cependant, le laser a été livré en retard et la station n’est devenue opérationnelle qu’en août 2000. Ce retard a eu pour conséquence de condamner la première campagne de mesure et de réduire très sérieusement la durée de validation.
Le partenariat a fonctionné de manière très satisfaisante et a permis la réalisation du projet avec succès.
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Reconnaissance transfrontalière de l’aquifère profond dans la bande rhénane entre Fessenheim-Breisach
Publié par Adipso le samedi 19 juillet 2025
Le projet visait à reconnaître plus précisément la morphologie de la nappe et la nature des alluvions profondes. Les travaux prévus étaient les suivants :
– Collecte et saisie de données indépendamment du maillage et modélisation régionale en régime transitoire du secteur d’étude transfrontalier
– Modélisation de l’écoulement densitaire des eaux salées
La cartographie transfrontalière géologique et hydrogéologique et les profils géologiques ont été mis à jour. Un modèle hydrodynamique régional 3D multicouche a été mis au point pour modéliser le transport de la salure en prenant en compte l’effet densitaire, et a été calé en fonction des données acquises. Des premières simulations préliminaires de l’écoulement de la salure ont pu être réalisées. Il faut cependant remarquer qu’il a été difficile de réaliser les deux forages profonds de Hartheim (D) et Nambsheim (F) dans les contraintes de durée du projet car les conditions géologiques ont été plus difficiles que prévu.
Il s’est établi au cours du déroulement du projet un partenariat amical et efficace entre les différents acteurs.
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