Semaine « D’une rive à l’autre »
Semaine « D’une rive à l’autre »
Publié par Adipso le lundi 17 novembre 2025

Evènement grand public de découverte de la gestion de l’eau dans l’espace transnational du Rhin Supérieur. A l’occasion de cette manifestation un concours photos, un concours d’initiatives (projets de jeunes), des promenades pédagogiques, des ateliers, des expositions interactives sur l’écosystème, sur l’histoire, sur la culture liés au Rhin ainsi que des actions de nettoyage des berges ont été mis en oeuvre.
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Usine d’incinération des ordures ménagères de Strasbourg
Publié par Adipso le lundi 17 novembre 2025

Le projet consistait en la mise en place d’un équipement de traitement des fumées de l’usine d’incinération de Strasbourg.
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Etude de droit comparé en matière d’environnement
Publié par Adipso le lundi 17 novembre 2025

L’étude mise en œuvre devait conduire à des propositions en vue de l’harmonisation des procédures en France et en Allemagne, en particulier relatives aux études d’impact (procédures d’autorisation et association du public).
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Etude éco-environnement sud du Rhin Supérieur
Publié par Adipso le lundi 17 novembre 2025

L’étude menée devait permettre d’assurer un suivi permanent du développement économique et écologique dans la zone frontalière du Sud du Rhin supérieur.
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REKLIP : Atlas Climatique Rhin Supérieur Centre-Sud
Publié par Adipso le lundi 17 novembre 2025

Les différentes données climatiques de la région entre les chaînes du Jura, des Vosges et de la Forêt-Noire ont été saisies, traitées et mises sous forme numérique selon des critères uniformes. Ces données ont été établies sur la base des mesures disponibles entre 1950 et 1980 et à l’aide de méthodes nouvelles (données satellitaires, simulations numériques) dans la première partie du programme de recherches climatiques transfrontalier REKLIP. L’Atlas climatique du Rhin supérieur a constitué la publication de ce travail.
Image : Localisation des stations des mesures dans le cadre du projet REKLIP
Source : www.reklip.org
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Programme trinational pour la préservation des vergers et de la biodiversité associée
Publié par Adipso le lundi 17 novembre 2025

Le projet consistait à mettre en œuvre un programme de conservation des vergers à hautes tiges et de la biodiversité qui lui est associée, notamment l’avifaune et la flore.
La constitution d’un réseau d’échanges de savoir-faire entre les différents spécialistes (arboriculteurs, ornithologues etc.) et acteurs (acteurs fonciers, élus, etc.) devait permettre un réel retour d’expérience et une mise en commun au niveau trinational. A cet effet, des réunions, des chantiers d’entretien et de gestion de biotopes, et des sorties guidées pour le public spécialisé et le grand public ont été organisées.
En outre, les partenaires ont mis en place 3 parcelles sur l’ensemble de la région des Trois Frontières, une surface totale de 2,5 hectares, pour en faire des sites témoins et expérimentaux.
Enfin, suite à une étude de marché réalisée en 2005, le projet a permis de développer, de mettre sur le marché et de promouvoir différents produits issus des vergers à haute-tige.Le projet consistait à mettre en œuvre un programme de conservation des vergers à hautes tiges et de la biodiversité qui lui est associée, notamment l’avifaune et la flore.
La constitution d’un réseau d’échanges de savoir-faire entre les différents spécialistes (arboriculteurs, ornithologues etc.) et acteurs (acteurs fonciers, élus, etc.) devait permettre un réel retour d’expérience et une mise en commun au niveau trinational. A cet effet, des réunions, des chantiers d’entretien et de gestion de biotopes, et des sorties guidées pour le public spécialisé et le grand public ont été organisées.
En outre, les partenaires ont mis en place 3 parcelles sur l’ensemble de la région des Trois Frontières, une surface totale de 2,5 hectares, pour en faire des sites témoins et expérimentaux.
Enfin, suite à une étude de marché réalisée en 2005, le projet a permis de développer, de mettre sur le marché et de promouvoir différents produits issus des vergers à haute-tige.Le projet consistait à mettre en œuvre un programme de conservation des vergers à hautes tiges et de la biodiversité qui lui est associée, notamment l’avifaune et la flore.
La constitution d’un réseau d’échanges de savoir-faire entre les différents spécialistes (arboriculteurs, ornithologues etc.) et acteurs (acteurs fonciers, élus, etc.) devait permettre un réel retour d’expérience et une mise en commun au niveau trinational. A cet effet, des réunions, des chantiers d’entretien et de gestion de biotopes, et des sorties guidées pour le public spécialisé et le grand public ont été organisées.
En outre, les partenaires ont mis en place 3 parcelles sur l’ensemble de la région des Trois Frontières, une surface totale de 2,5 hectares, pour en faire des sites témoins et expérimentaux.
Enfin, suite à une étude de marché réalisée en 2005, le projet a permis de développer, de mettre sur le marché et de promouvoir différents produits issus des vergers à haute-tige.Le projet consistait à mettre en œuvre un programme de conservation des vergers à hautes tiges et de la biodiversité qui lui est associée, notamment l’avifaune et la flore.
La constitution d’un réseau d’échanges de savoir-faire entre les différents spécialistes (arboriculteurs, ornithologues etc.) et acteurs (acteurs fonciers, élus, etc.) devait permettre un réel retour d’expérience et une mise en commun au niveau trinational. A cet effet, des réunions, des chantiers d’entretien et de gestion de biotopes, et des sorties guidées pour le public spécialisé et le grand public ont été organisées.
En outre, les partenaires ont mis en place 3 parcelles sur l’ensemble de la région des Trois Frontières, une surface totale de 2,5 hectares, pour en faire des sites témoins et expérimentaux.
Enfin, suite à une étude de marché réalisée en 2005, le projet a permis de développer, de mettre sur le marché et de promouvoir différents produits issus des vergers à haute-tige.Le projet consistait à mettre en œuvre un programme de conservation des vergers à hautes tiges et de la biodiversité qui lui est associée, notamment l’avifaune et la flore.
La constitution d’un réseau d’échanges de savoir-faire entre les différents spécialistes (arboriculteurs, ornithologues etc.) et acteurs (acteurs fonciers, élus, etc.) devait permettre un réel retour d’expérience et une mise en commun au niveau trinational. A cet effet, des réunions, des chantiers d’entretien et de gestion de biotopes, et des sorties guidées pour le public spécialisé et le grand public ont été organisées.
En outre, les partenaires ont mis en place 3 parcelles sur l’ensemble de la région des Trois Frontières, une surface totale de 2,5 hectares, pour en faire des sites témoins et expérimentaux.
Enfin, suite à une étude de marché réalisée en 2005, le projet a permis de développer, de mettre sur le marché et de promouvoir différents produits issus des vergers à haute-tige.Le projet consistait à mettre en œuvre un programme de conservation des vergers à hautes tiges et de la biodiversité qui lui est associée, notamment l’avifaune et la flore.
La constitution d’un réseau d’échanges de savoir-faire entre les différents spécialistes (arboriculteurs, ornithologues etc.) et acteurs (acteurs fonciers, élus, etc.) devait permettre un réel retour d’expérience et une mise en commun au niveau trinational. A cet effet, des réunions, des chantiers d’entretien et de gestion de biotopes, et des sorties guidées pour le public spécialisé et le grand public ont été organisées.
En outre, les partenaires ont mis en place 3 parcelles sur l’ensemble de la région des Trois Frontières, une surface totale de 2,5 hectares, pour en faire des sites témoins et expérimentaux.
Enfin, suite à une étude de marché réalisée en 2005, le projet a permis de développer, de mettre sur le marché et de promouvoir différents produits issus des vergers à haute-tige.
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Optimisation du rôle de la forêt dans la protection des petits cours d’eau et des zones humides
Publié par Adipso le lundi 17 novembre 2025

Le projet avait pour objectif d’étudier les interactions entre gestion forestière et milieux aquatiques dans les forêts de moyenne montagne du bassin rhénan moyen. Il s’agissait également de décrire et d’évaluer de manière transfrontalière la contribution de la forêt à l’amélioration de la qualité de l’eau.
Les objectifs détaillés étaient les suivants :
– Améliorer la connaissance des milieux aquatiques forestiers et évaluer l’influence de la gestion forestière sur ces milieux,
– Proposer des actions concrètes de restauration et de protection des milieux aquatiques,
– Evaluer d’un point de vue économique le coût des mesures à mettre en œuvre pour une gestion forestière respectueuse de l’eau,
– Sensibiliser et former les gestionnaires, propriétaires et exploitants forestiers.
Les opérations prévues ont directement été animées par une équipe de 16 opérateurs regroupant des scientifiques, des gestionnaires forestiers et des administrateurs.
Outre les échanges et le partage de compétences, ces travaux ont permis de mobiliser un nombre important de gestionnaires forestiers à travers des études de terrain et les formations. La dynamique instaurée pourra se poursuivre grâce aux supports de sensibilisation construits durant le projet.
Les actions prévues se sont notamment concrétisées via une série de chantiers pilotes de restauration de milieux aquatiques. Cette approche a été complétée par une analyse économique qui permet de préciser les coûts liés à une gestion forestière orientée eau.Le projet avait pour objectif d’étudier les interactions entre gestion forestière et milieux aquatiques dans les forêts de moyenne montagne du bassin rhénan moyen. Il s’agissait également de décrire et d’évaluer de manière transfrontalière la contribution de la forêt à l’amélioration de la qualité de l’eau.
Les objectifs détaillés étaient les suivants :
– Améliorer la connaissance des milieux aquatiques forestiers et évaluer l’influence de la gestion forestière sur ces milieux,
– Proposer des actions concrètes de restauration et de protection des milieux aquatiques,
– Evaluer d’un point de vue économique le coût des mesures à mettre en œuvre pour une gestion forestière respectueuse de l’eau,
– Sensibiliser et former les gestionnaires, propriétaires et exploitants forestiers.
Les opérations prévues ont directement été animées par une équipe de 16 opérateurs regroupant des scientifiques, des gestionnaires forestiers et des administrateurs.
Outre les échanges et le partage de compétences, ces travaux ont permis de mobiliser un nombre important de gestionnaires forestiers à travers des études de terrain et les formations. La dynamique instaurée pourra se poursuivre grâce aux supports de sensibilisation construits durant le projet.
Les actions prévues se sont notamment concrétisées via une série de chantiers pilotes de restauration de milieux aquatiques. Cette approche a été complétée par une analyse économique qui permet de préciser les coûts liés à une gestion forestière orientée eau.Le projet avait pour objectif d’étudier les interactions entre gestion forestière et milieux aquatiques dans les forêts de moyenne montagne du bassin rhénan moyen. Il s’agissait également de décrire et d’évaluer de manière transfrontalière la contribution de la forêt à l’amélioration de la qualité de l’eau.
Les objectifs détaillés étaient les suivants :
– Améliorer la connaissance des milieux aquatiques forestiers et évaluer l’influence de la gestion forestière sur ces milieux,
– Proposer des actions concrètes de restauration et de protection des milieux aquatiques,
– Evaluer d’un point de vue économique le coût des mesures à mettre en œuvre pour une gestion forestière respectueuse de l’eau,
– Sensibiliser et former les gestionnaires, propriétaires et exploitants forestiers.
Les opérations prévues ont directement été animées par une équipe de 16 opérateurs regroupant des scientifiques, des gestionnaires forestiers et des administrateurs.
Outre les échanges et le partage de compétences, ces travaux ont permis de mobiliser un nombre important de gestionnaires forestiers à travers des études de terrain et les formations. La dynamique instaurée pourra se poursuivre grâce aux supports de sensibilisation construits durant le projet.
Les actions prévues se sont notamment concrétisées via une série de chantiers pilotes de restauration de milieux aquatiques. Cette approche a été complétée par une analyse économique qui permet de préciser les coûts liés à une gestion forestière orientée eau.Le projet avait pour objectif d’étudier les interactions entre gestion forestière et milieux aquatiques dans les forêts de moyenne montagne du bassin rhénan moyen. Il s’agissait également de décrire et d’évaluer de manière transfrontalière la contribution de la forêt à l’amélioration de la qualité de l’eau.
Les objectifs détaillés étaient les suivants :
– Améliorer la connaissance des milieux aquatiques forestiers et évaluer l’influence de la gestion forestière sur ces milieux,
– Proposer des actions concrètes de restauration et de protection des milieux aquatiques,
– Evaluer d’un point de vue économique le coût des mesures à mettre en œuvre pour une gestion forestière respectueuse de l’eau,
– Sensibiliser et former les gestionnaires, propriétaires et exploitants forestiers.
Les opérations prévues ont directement été animées par une équipe de 16 opérateurs regroupant des scientifiques, des gestionnaires forestiers et des administrateurs.
Outre les échanges et le partage de compétences, ces travaux ont permis de mobiliser un nombre important de gestionnaires forestiers à travers des études de terrain et les formations. La dynamique instaurée pourra se poursuivre grâce aux supports de sensibilisation construits durant le projet.
Les actions prévues se sont notamment concrétisées via une série de chantiers pilotes de restauration de milieux aquatiques. Cette approche a été complétée par une analyse économique qui permet de préciser les coûts liés à une gestion forestière orientée eau.Le projet avait pour objectif d’étudier les interactions entre gestion forestière et milieux aquatiques dans les forêts de moyenne montagne du bassin rhénan moyen. Il s’agissait également de décrire et d’évaluer de manière transfrontalière la contribution de la forêt à l’amélioration de la qualité de l’eau.
Les objectifs détaillés étaient les suivants :
– Améliorer la connaissance des milieux aquatiques forestiers et évaluer l’influence de la gestion forestière sur ces milieux,
– Proposer des actions concrètes de restauration et de protection des milieux aquatiques,
– Evaluer d’un point de vue économique le coût des mesures à mettre en œuvre pour une gestion forestière respectueuse de l’eau,
– Sensibiliser et former les gestionnaires, propriétaires et exploitants forestiers.
Les opérations prévues ont directement été animées par une équipe de 16 opérateurs regroupant des scientifiques, des gestionnaires forestiers et des administrateurs.
Outre les échanges et le partage de compétences, ces travaux ont permis de mobiliser un nombre important de gestionnaires forestiers à travers des études de terrain et les formations. La dynamique instaurée pourra se poursuivre grâce aux supports de sensibilisation construits durant le projet.
Les actions prévues se sont notamment concrétisées via une série de chantiers pilotes de restauration de milieux aquatiques. Cette approche a été complétée par une analyse économique qui permet de préciser les coûts liés à une gestion forestière orientée eau.Le projet avait pour objectif d’étudier les interactions entre gestion forestière et milieux aquatiques dans les forêts de moyenne montagne du bassin rhénan moyen. Il s’agissait également de décrire et d’évaluer de manière transfrontalière la contribution de la forêt à l’amélioration de la qualité de l’eau.
Les objectifs détaillés étaient les suivants :
– Améliorer la connaissance des milieux aquatiques forestiers et évaluer l’influence de la gestion forestière sur ces milieux,
– Proposer des actions concrètes de restauration et de protection des milieux aquatiques,
– Evaluer d’un point de vue économique le coût des mesures à mettre en œuvre pour une gestion forestière respectueuse de l’eau,
– Sensibiliser et former les gestionnaires, propriétaires et exploitants forestiers.
Les opérations prévues ont directement été animées par une équipe de 16 opérateurs regroupant des scientifiques, des gestionnaires forestiers et des administrateurs.
Outre les échanges et le partage de compétences, ces travaux ont permis de mobiliser un nombre important de gestionnaires forestiers à travers des études de terrain et les formations. La dynamique instaurée pourra se poursuivre grâce aux supports de sensibilisation construits durant le projet.
Les actions prévues se sont notamment concrétisées via une série de chantiers pilotes de restauration de milieux aquatiques. Cette approche a été complétée par une analyse économique qui permet de préciser les coûts liés à une gestion forestière orientée eau.
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Revitalisation du Taubergiessen – Le vieux Rhin avec une nouvelle dynamique
Publié par Adipso le lundi 17 novembre 2025

L’objectif de ce projet a été l’amélioration écologique de la plaine alluviale du Rhin à l’intérieur de la réserve naturelle du Taubergiessen.
Compte tenu des conditions aux limites actuelles, la dynamique avec des battements de niveaux d’eau est à restaurer, les giessens à réhabiliter et le lit du cours d’eau « Taubergiessen » à remodeler. L’objectif est de parvenir à une amélioration de la circulation de l’eau.
Des animaux nécessitant de vastes habitats profiteront de ces impacts sur une grande superficie en plus des mesures déjà réalisées sur l’Île de Rhinau.
Dans le but de réaliser les objectifs fixés, le projet s’est doté d’un comité de pilotage efficace qui a défini la planification des constructions et étudié leurs impacts.
La coopération interdisciplinaire et transfrontalière a conduit à un transfert de compétences massif entre les citoyens, les organisations non gouvernementales et les administrations des deux côtés du Rhin.
Les objectifs écologiques du projet ont été atteints par différents biais :
– Abaissement des digues et des rives du Leopoldskanal et du Rhin.
– Elimination de traverses et amélioration de la praticabilité
– Réhabilitation de Giessens
– Dynamisation des conditions d’écoulements
Les milieux créés offrent désormais un fort potentiel en particulier pour les espèces intéressantes pour le suivi écologique.
Lors de différentes visites il a été possible d’observer à nouveau des espèces en danger.
Les cours d’eau situés dans la zone de la plaine alluviale sont à nouveau liés à la dynamique des fleuves et rivières, ce qui a amélioré la qualité de l’eau.
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Education à l’environnement sans frontières
Publié par Adipso le lundi 17 novembre 2025

Le projet visait la mise en place d’une stratégie de coopération transfrontalière en matière d’éducation à l´environnement et au développement durable, basée sur la réalisation de 2 structures d’information et d’éducation : la Waldhaus de Freiburg et l’Observatoire de la nature de Colmar.
Les mesures prévues dans le cadre du projet étaient conditionnées à la construction de deux centres décentralisés de formation et d’information, qui devaient aussi servir de modèle de construction durable et écologique.
Alors que le Waldhaus a pu ouvrir ses portes en Septembre 2008, l’observatoire de la Nature quant à lui, a connu un retard de construction de plus de 6 mois, et n’a été terminé qu’au 2nd semestre 2009 soit après la fin de la période de cofinancement INTERREG.
De ce fait, certaines actions n’ont pu être réalisées ou l’ont été seulement pour la structure de Freiburg.
Les partenaires ont néanmoins mis en place les actions suivantes :
– Concours scolaire « La biodiversité de la forêt ».
– Jeux transfrontaliers forestiers
– Livret « Les mots de l’environnement en images »
– Séminaires
– Sentiers thématiques
– Brochure d’information des sentiers
– Flyer sentiers thématiques Stadtwald-Arboretum.
– Parcours écotouristique à Colmar
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Conservation des forêts alluviales rhénanes
Publié par Adipso le lundi 17 novembre 2025

Le projet consistait à mettre en œuvre un programme de recherche pour la conservation et l’établissement de la richesse en espèces et structures des forêts, héritage commun transfrontalier nécessitant d’être protégé et développé de manière durable.
La gestion durable des forêts devait ainsi prendre en compte la fonction économique, écologique et sociale (ex. pérennisation des emplois, protection contre les inondations, aspect récréatif, protection de la nature). La zone d’étude couvrait une superficie de 2.819 hectares entre Marckolsheim du côté français et Whyl du côté allemand.
Le développement de méthodes d’investigation communes des habitats forestiers rhénans et de leur évaluation par les partenaires a fourni les bases à l’élaboration d’une stratégie transfrontalière dans le domaine de monitoring des forêts rhénanes permettant d’évaluer et faire évoluer :
– la sylviculture appliquée aux forêts rhénanes intégrant les objectifs de la protection de la nature ;
– les stratégies et actions de restauration de la fonctionnalité alluviale ; et
– les mesures de protection contre les cruesLe projet consistait à mettre en œuvre un programme de recherche pour la conservation et l’établissement de la richesse en espèces et structures des forêts, héritage commun transfrontalier nécessitant d’être protégé et développé de manière durable.
La gestion durable des forêts devait ainsi prendre en compte la fonction économique, écologique et sociale (ex. pérennisation des emplois, protection contre les inondations, aspect récréatif, protection de la nature). La zone d’étude couvrait une superficie de 2.819 hectares entre Marckolsheim du côté français et Whyl du côté allemand.
Le développement de méthodes d’investigation communes des habitats forestiers rhénans et de leur évaluation par les partenaires a fourni les bases à l’élaboration d’une stratégie transfrontalière dans le domaine de monitoring des forêts rhénanes permettant d’évaluer et faire évoluer :
– la sylviculture appliquée aux forêts rhénanes intégrant les objectifs de la protection de la nature ;
– les stratégies et actions de restauration de la fonctionnalité alluviale ; et
– les mesures de protection contre les cruesLe projet consistait à mettre en œuvre un programme de recherche pour la conservation et l’établissement de la richesse en espèces et structures des forêts, héritage commun transfrontalier nécessitant d’être protégé et développé de manière durable.
La gestion durable des forêts devait ainsi prendre en compte la fonction économique, écologique et sociale (ex. pérennisation des emplois, protection contre les inondations, aspect récréatif, protection de la nature). La zone d’étude couvrait une superficie de 2.819 hectares entre Marckolsheim du côté français et Whyl du côté allemand.
Le développement de méthodes d’investigation communes des habitats forestiers rhénans et de leur évaluation par les partenaires a fourni les bases à l’élaboration d’une stratégie transfrontalière dans le domaine de monitoring des forêts rhénanes permettant d’évaluer et faire évoluer :
– la sylviculture appliquée aux forêts rhénanes intégrant les objectifs de la protection de la nature ;
– les stratégies et actions de restauration de la fonctionnalité alluviale ; et
– les mesures de protection contre les cruesLe projet consistait à mettre en œuvre un programme de recherche pour la conservation et l’établissement de la richesse en espèces et structures des forêts, héritage commun transfrontalier nécessitant d’être protégé et développé de manière durable.
La gestion durable des forêts devait ainsi prendre en compte la fonction économique, écologique et sociale (ex. pérennisation des emplois, protection contre les inondations, aspect récréatif, protection de la nature). La zone d’étude couvrait une superficie de 2.819 hectares entre Marckolsheim du côté français et Whyl du côté allemand.
Le développement de méthodes d’investigation communes des habitats forestiers rhénans et de leur évaluation par les partenaires a fourni les bases à l’élaboration d’une stratégie transfrontalière dans le domaine de monitoring des forêts rhénanes permettant d’évaluer et faire évoluer :
– la sylviculture appliquée aux forêts rhénanes intégrant les objectifs de la protection de la nature ;
– les stratégies et actions de restauration de la fonctionnalité alluviale ; et
– les mesures de protection contre les cruesLe projet consistait à mettre en œuvre un programme de recherche pour la conservation et l’établissement de la richesse en espèces et structures des forêts, héritage commun transfrontalier nécessitant d’être protégé et développé de manière durable.
La gestion durable des forêts devait ainsi prendre en compte la fonction économique, écologique et sociale (ex. pérennisation des emplois, protection contre les inondations, aspect récréatif, protection de la nature). La zone d’étude couvrait une superficie de 2.819 hectares entre Marckolsheim du côté français et Whyl du côté allemand.
Le développement de méthodes d’investigation communes des habitats forestiers rhénans et de leur évaluation par les partenaires a fourni les bases à l’élaboration d’une stratégie transfrontalière dans le domaine de monitoring des forêts rhénanes permettant d’évaluer et faire évoluer :
– la sylviculture appliquée aux forêts rhénanes intégrant les objectifs de la protection de la nature ;
– les stratégies et actions de restauration de la fonctionnalité alluviale ; et
– les mesures de protection contre les cruesLe projet consistait à mettre en œuvre un programme de recherche pour la conservation et l’établissement de la richesse en espèces et structures des forêts, héritage commun transfrontalier nécessitant d’être protégé et développé de manière durable.
La gestion durable des forêts devait ainsi prendre en compte la fonction économique, écologique et sociale (ex. pérennisation des emplois, protection contre les inondations, aspect récréatif, protection de la nature). La zone d’étude couvrait une superficie de 2.819 hectares entre Marckolsheim du côté français et Whyl du côté allemand.
Le développement de méthodes d’investigation communes des habitats forestiers rhénans et de leur évaluation par les partenaires a fourni les bases à l’élaboration d’une stratégie transfrontalière dans le domaine de monitoring des forêts rhénanes permettant d’évaluer et faire évoluer :
– la sylviculture appliquée aux forêts rhénanes intégrant les objectifs de la protection de la nature ;
– les stratégies et actions de restauration de la fonctionnalité alluviale ; et
– les mesures de protection contre les crues
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