Création d’un lieu de vie pilote transfrontalier : réponses alternatives à l'intégration sociale de personnes en grande difficulté d'insertion
Création d’un lieu de vie pilote transfrontalier : réponses alternatives à l’intégration sociale de personnes en grande difficulté d’insertion
Publié par Adipso le samedi 13 décembre 2025

Le projet consistait à créer un lieu de vie pilote à la Clausmatt, au-dessus de Ribeauvillé, destiné à accueillir des publics en situation de grande précarité (sortant de longue détention, d’hôpital psychiatrique, d’errance, …).
Il s’agissait de répondre à l’absence, dans l’espace du Rhin Supérieur Centre-Sud, de dispositifs d’accueil, d’accompagnement et de réinsertion sur le long terme des publics en difficulté d’insertion, notamment des femmes qui bénéficiaient rarement de structures d’accueil pour des périodes de longue durée.
Le projet comprenait deux volets :
– La formation professionnelle pour les publics accueillis favorisant l’autonomisation par le travail et l’acquisition de savoir-faire techniques ; et
– Des sessions de travail et d’échanges à destination des travailleurs sociaux, élus, responsables associatifs, médecins, etc. sur les thèmes tels que la violence des publics marginaux, l’accueil et l’accompagnement des femmes, le suivi médical ou encore l’intégration sociale des personnes en situation de grande précarité.
Une partie des réunions se déroulait à Etzenbach en Allemagne, dans la perspective d’en faire un lieu de vie pilote au Bade-Wurtemberg.Le projet consistait à créer un lieu de vie pilote à la Clausmatt, au-dessus de Ribeauvillé, destiné à accueillir des publics en situation de grande précarité (sortant de longue détention, d’hôpital psychiatrique, d’errance, …).
Il s’agissait de répondre à l’absence, dans l’espace du Rhin Supérieur Centre-Sud, de dispositifs d’accueil, d’accompagnement et de réinsertion sur le long terme des publics en difficulté d’insertion, notamment des femmes qui bénéficiaient rarement de structures d’accueil pour des périodes de longue durée.
Le projet comprenait deux volets :
– La formation professionnelle pour les publics accueillis favorisant l’autonomisation par le travail et l’acquisition de savoir-faire techniques ; et
– Des sessions de travail et d’échanges à destination des travailleurs sociaux, élus, responsables associatifs, médecins, etc. sur les thèmes tels que la violence des publics marginaux, l’accueil et l’accompagnement des femmes, le suivi médical ou encore l’intégration sociale des personnes en situation de grande précarité.
Une partie des réunions se déroulait à Etzenbach en Allemagne, dans la perspective d’en faire un lieu de vie pilote au Bade-Wurtemberg.Le projet consistait à créer un lieu de vie pilote à la Clausmatt, au-dessus de Ribeauvillé, destiné à accueillir des publics en situation de grande précarité (sortant de longue détention, d’hôpital psychiatrique, d’errance, …).
Il s’agissait de répondre à l’absence, dans l’espace du Rhin Supérieur Centre-Sud, de dispositifs d’accueil, d’accompagnement et de réinsertion sur le long terme des publics en difficulté d’insertion, notamment des femmes qui bénéficiaient rarement de structures d’accueil pour des périodes de longue durée.
Le projet comprenait deux volets :
– La formation professionnelle pour les publics accueillis favorisant l’autonomisation par le travail et l’acquisition de savoir-faire techniques ; et
– Des sessions de travail et d’échanges à destination des travailleurs sociaux, élus, responsables associatifs, médecins, etc. sur les thèmes tels que la violence des publics marginaux, l’accueil et l’accompagnement des femmes, le suivi médical ou encore l’intégration sociale des personnes en situation de grande précarité.
Une partie des réunions se déroulait à Etzenbach en Allemagne, dans la perspective d’en faire un lieu de vie pilote au Bade-Wurtemberg.Le projet consistait à créer un lieu de vie pilote à la Clausmatt, au-dessus de Ribeauvillé, destiné à accueillir des publics en situation de grande précarité (sortant de longue détention, d’hôpital psychiatrique, d’errance, …).
Il s’agissait de répondre à l’absence, dans l’espace du Rhin Supérieur Centre-Sud, de dispositifs d’accueil, d’accompagnement et de réinsertion sur le long terme des publics en difficulté d’insertion, notamment des femmes qui bénéficiaient rarement de structures d’accueil pour des périodes de longue durée.
Le projet comprenait deux volets :
– La formation professionnelle pour les publics accueillis favorisant l’autonomisation par le travail et l’acquisition de savoir-faire techniques ; et
– Des sessions de travail et d’échanges à destination des travailleurs sociaux, élus, responsables associatifs, médecins, etc. sur les thèmes tels que la violence des publics marginaux, l’accueil et l’accompagnement des femmes, le suivi médical ou encore l’intégration sociale des personnes en situation de grande précarité.
Une partie des réunions se déroulait à Etzenbach en Allemagne, dans la perspective d’en faire un lieu de vie pilote au Bade-Wurtemberg.Le projet consistait à créer un lieu de vie pilote à la Clausmatt, au-dessus de Ribeauvillé, destiné à accueillir des publics en situation de grande précarité (sortant de longue détention, d’hôpital psychiatrique, d’errance, …).
Il s’agissait de répondre à l’absence, dans l’espace du Rhin Supérieur Centre-Sud, de dispositifs d’accueil, d’accompagnement et de réinsertion sur le long terme des publics en difficulté d’insertion, notamment des femmes qui bénéficiaient rarement de structures d’accueil pour des périodes de longue durée.
Le projet comprenait deux volets :
– La formation professionnelle pour les publics accueillis favorisant l’autonomisation par le travail et l’acquisition de savoir-faire techniques ; et
– Des sessions de travail et d’échanges à destination des travailleurs sociaux, élus, responsables associatifs, médecins, etc. sur les thèmes tels que la violence des publics marginaux, l’accueil et l’accompagnement des femmes, le suivi médical ou encore l’intégration sociale des personnes en situation de grande précarité.
Une partie des réunions se déroulait à Etzenbach en Allemagne, dans la perspective d’en faire un lieu de vie pilote au Bade-Wurtemberg.Le projet consistait à créer un lieu de vie pilote à la Clausmatt, au-dessus de Ribeauvillé, destiné à accueillir des publics en situation de grande précarité (sortant de longue détention, d’hôpital psychiatrique, d’errance, …).
Il s’agissait de répondre à l’absence, dans l’espace du Rhin Supérieur Centre-Sud, de dispositifs d’accueil, d’accompagnement et de réinsertion sur le long terme des publics en difficulté d’insertion, notamment des femmes qui bénéficiaient rarement de structures d’accueil pour des périodes de longue durée.
Le projet comprenait deux volets :
– La formation professionnelle pour les publics accueillis favorisant l’autonomisation par le travail et l’acquisition de savoir-faire techniques ; et
– Des sessions de travail et d’échanges à destination des travailleurs sociaux, élus, responsables associatifs, médecins, etc. sur les thèmes tels que la violence des publics marginaux, l’accueil et l’accompagnement des femmes, le suivi médical ou encore l’intégration sociale des personnes en situation de grande précarité.
Une partie des réunions se déroulait à Etzenbach en Allemagne, dans la perspective d’en faire un lieu de vie pilote au Bade-Wurtemberg.Le projet consistait à créer un lieu de vie pilote à la Clausmatt, au-dessus de Ribeauvillé, destiné à accueillir des publics en situation de grande précarité (sortant de longue détention, d’hôpital psychiatrique, d’errance, …).
Il s’agissait de répondre à l’absence, dans l’espace du Rhin Supérieur Centre-Sud, de dispositifs d’accueil, d’accompagnement et de réinsertion sur le long terme des publics en difficulté d’insertion, notamment des femmes qui bénéficiaient rarement de structures d’accueil pour des périodes de longue durée.
Le projet comprenait deux volets :
– La formation professionnelle pour les publics accueillis favorisant l’autonomisation par le travail et l’acquisition de savoir-faire techniques ; et
– Des sessions de travail et d’échanges à destination des travailleurs sociaux, élus, responsables associatifs, médecins, etc. sur les thèmes tels que la violence des publics marginaux, l’accueil et l’accompagnement des femmes, le suivi médical ou encore l’intégration sociale des personnes en situation de grande précarité.
Une partie des réunions se déroulait à Etzenbach en Allemagne, dans la perspective d’en faire un lieu de vie pilote au Bade-Wurtemberg.Le projet consistait à créer un lieu de vie pilote à la Clausmatt, au-dessus de Ribeauvillé, destiné à accueillir des publics en situation de grande précarité (sortant de longue détention, d’hôpital psychiatrique, d’errance, …).
Il s’agissait de répondre à l’absence, dans l’espace du Rhin Supérieur Centre-Sud, de dispositifs d’accueil, d’accompagnement et de réinsertion sur le long terme des publics en difficulté d’insertion, notamment des femmes qui bénéficiaient rarement de structures d’accueil pour des périodes de longue durée.
Le projet comprenait deux volets :
– La formation professionnelle pour les publics accueillis favorisant l’autonomisation par le travail et l’acquisition de savoir-faire techniques ; et
– Des sessions de travail et d’échanges à destination des travailleurs sociaux, élus, responsables associatifs, médecins, etc. sur les thèmes tels que la violence des publics marginaux, l’accueil et l’accompagnement des femmes, le suivi médical ou encore l’intégration sociale des personnes en situation de grande précarité.
Une partie des réunions se déroulait à Etzenbach en Allemagne, dans la perspective d’en faire un lieu de vie pilote au Bade-Wurtemberg.
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Mise en place d’un pôle de compétences transfrontalières
Publié par Adipso le samedi 13 décembre 2025

Il s’agissait, dans le cadre de ce projet, de créer un Pôle de compétences transfrontalières regroupant toutes les initiatives existantes à Kehl afin de rendre les actions de coopération plus transparentes vis-à-vis du citoyen et surtout d’accroître l’efficacité du suivi et de la mise en œuvre des politiques transfrontalières.
Ce Pôle de compétence a permis de regrouper :
– l‘Infobest Kehl/Strasbourg ;
– l‘Euro Info Consommateurs ;
– l‘Euro-Institut ; et
– le Secrétariat de la Conférence du Rhin supérieur.
Les mesures réalisées concernaient l’aménagement des locaux du Pôle de compétences et des locaux pour l’Euro-Info-Consommateurs dans le bâtiment dénommé « Torbogengebäude » ainsi que la réalisation d’actions communes (effets de synergie) : communication, portail Internet, base de données, mise en place d’un numéro vert.
Image : Villa Rhefus, Kehl, Infobest Strasbourg-Kehl
Source: www.kehl.de
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Maison TRIRHENA Palmrain : vers une coopération renforcée au-delà de 2006
Publié par Adipso le samedi 13 décembre 2025

Le 26 janvier 2007, l’Agglomération Trinationale de Bâle (ATB) est officiellement devenue l’Eurodistrict Trinational de Bâle (ETB). Cette évolution institutionnelle s’est accompagnée d’un processus de rapprochement des structures ayant pour périmètre l’agglomération bâloise, intitulé Maison TriRhena Palmrain.
Ainsi, la maison TriRhena est devenue en juillet 2007 le siège du nouvel Eurodistrict, qui partage le bâtiment avec l’Infobest Palmrain, instance transfrontalière d’information et de conseil et le Conseil Regio TriRhena, créé pour fédérer les collectivités du triangle Bâle-Freiburg-Colmar et les trois associations « Regio ».
Le projet Maison TriRhena Palmrain s’est composé de deux axes :
1) réalisation d’un audit sur l’avenir de la coopération transfrontalière dans la RegioTriRhena. L’étude a été présentée le 12 juin 2006 à Lörrach lors d’une présentation associant un très large public dont la presse ;
2) acquisition d’équipements nécessaires au fonctionnement du nouvel ensemble (80 casques de traduction multicanaux et 2 micros / émetteurs, modernisation des équipements téléphoniques et matériel nécessaire pour la mise en place future d’un standard commun).Le 26 janvier 2007, l’Agglomération Trinationale de Bâle (ATB) est officiellement devenue l’Eurodistrict Trinational de Bâle (ETB). Cette évolution institutionnelle s’est accompagnée d’un processus de rapprochement des structures ayant pour périmètre l’agglomération bâloise, intitulé Maison TriRhena Palmrain.
Ainsi, la maison TriRhena est devenue en juillet 2007 le siège du nouvel Eurodistrict, qui partage le bâtiment avec l’Infobest Palmrain, instance transfrontalière d’information et de conseil et le Conseil Regio TriRhena, créé pour fédérer les collectivités du triangle Bâle-Freiburg-Colmar et les trois associations « Regio ».
Le projet Maison TriRhena Palmrain s’est composé de deux axes :
1) réalisation d’un audit sur l’avenir de la coopération transfrontalière dans la RegioTriRhena. L’étude a été présentée le 12 juin 2006 à Lörrach lors d’une présentation associant un très large public dont la presse ;
2) acquisition d’équipements nécessaires au fonctionnement du nouvel ensemble (80 casques de traduction multicanaux et 2 micros / émetteurs, modernisation des équipements téléphoniques et matériel nécessaire pour la mise en place future d’un standard commun).Le 26 janvier 2007, l’Agglomération Trinationale de Bâle (ATB) est officiellement devenue l’Eurodistrict Trinational de Bâle (ETB). Cette évolution institutionnelle s’est accompagnée d’un processus de rapprochement des structures ayant pour périmètre l’agglomération bâloise, intitulé Maison TriRhena Palmrain.
Ainsi, la maison TriRhena est devenue en juillet 2007 le siège du nouvel Eurodistrict, qui partage le bâtiment avec l’Infobest Palmrain, instance transfrontalière d’information et de conseil et le Conseil Regio TriRhena, créé pour fédérer les collectivités du triangle Bâle-Freiburg-Colmar et les trois associations « Regio ».
Le projet Maison TriRhena Palmrain s’est composé de deux axes :
1) réalisation d’un audit sur l’avenir de la coopération transfrontalière dans la RegioTriRhena. L’étude a été présentée le 12 juin 2006 à Lörrach lors d’une présentation associant un très large public dont la presse ;
2) acquisition d’équipements nécessaires au fonctionnement du nouvel ensemble (80 casques de traduction multicanaux et 2 micros / émetteurs, modernisation des équipements téléphoniques et matériel nécessaire pour la mise en place future d’un standard commun).Le 26 janvier 2007, l’Agglomération Trinationale de Bâle (ATB) est officiellement devenue l’Eurodistrict Trinational de Bâle (ETB). Cette évolution institutionnelle s’est accompagnée d’un processus de rapprochement des structures ayant pour périmètre l’agglomération bâloise, intitulé Maison TriRhena Palmrain.
Ainsi, la maison TriRhena est devenue en juillet 2007 le siège du nouvel Eurodistrict, qui partage le bâtiment avec l’Infobest Palmrain, instance transfrontalière d’information et de conseil et le Conseil Regio TriRhena, créé pour fédérer les collectivités du triangle Bâle-Freiburg-Colmar et les trois associations « Regio ».
Le projet Maison TriRhena Palmrain s’est composé de deux axes :
1) réalisation d’un audit sur l’avenir de la coopération transfrontalière dans la RegioTriRhena. L’étude a été présentée le 12 juin 2006 à Lörrach lors d’une présentation associant un très large public dont la presse ;
2) acquisition d’équipements nécessaires au fonctionnement du nouvel ensemble (80 casques de traduction multicanaux et 2 micros / émetteurs, modernisation des équipements téléphoniques et matériel nécessaire pour la mise en place future d’un standard commun).Le 26 janvier 2007, l’Agglomération Trinationale de Bâle (ATB) est officiellement devenue l’Eurodistrict Trinational de Bâle (ETB). Cette évolution institutionnelle s’est accompagnée d’un processus de rapprochement des structures ayant pour périmètre l’agglomération bâloise, intitulé Maison TriRhena Palmrain.
Ainsi, la maison TriRhena est devenue en juillet 2007 le siège du nouvel Eurodistrict, qui partage le bâtiment avec l’Infobest Palmrain, instance transfrontalière d’information et de conseil et le Conseil Regio TriRhena, créé pour fédérer les collectivités du triangle Bâle-Freiburg-Colmar et les trois associations « Regio ».
Le projet Maison TriRhena Palmrain s’est composé de deux axes :
1) réalisation d’un audit sur l’avenir de la coopération transfrontalière dans la RegioTriRhena. L’étude a été présentée le 12 juin 2006 à Lörrach lors d’une présentation associant un très large public dont la presse ;
2) acquisition d’équipements nécessaires au fonctionnement du nouvel ensemble (80 casques de traduction multicanaux et 2 micros / émetteurs, modernisation des équipements téléphoniques et matériel nécessaire pour la mise en place future d’un standard commun).Le 26 janvier 2007, l’Agglomération Trinationale de Bâle (ATB) est officiellement devenue l’Eurodistrict Trinational de Bâle (ETB). Cette évolution institutionnelle s’est accompagnée d’un processus de rapprochement des structures ayant pour périmètre l’agglomération bâloise, intitulé Maison TriRhena Palmrain.
Ainsi, la maison TriRhena est devenue en juillet 2007 le siège du nouvel Eurodistrict, qui partage le bâtiment avec l’Infobest Palmrain, instance transfrontalière d’information et de conseil et le Conseil Regio TriRhena, créé pour fédérer les collectivités du triangle Bâle-Freiburg-Colmar et les trois associations « Regio ».
Le projet Maison TriRhena Palmrain s’est composé de deux axes :
1) réalisation d’un audit sur l’avenir de la coopération transfrontalière dans la RegioTriRhena. L’étude a été présentée le 12 juin 2006 à Lörrach lors d’une présentation associant un très large public dont la presse ;
2) acquisition d’équipements nécessaires au fonctionnement du nouvel ensemble (80 casques de traduction multicanaux et 2 micros / émetteurs, modernisation des équipements téléphoniques et matériel nécessaire pour la mise en place future d’un standard commun).Le 26 janvier 2007, l’Agglomération Trinationale de Bâle (ATB) est officiellement devenue l’Eurodistrict Trinational de Bâle (ETB). Cette évolution institutionnelle s’est accompagnée d’un processus de rapprochement des structures ayant pour périmètre l’agglomération bâloise, intitulé Maison TriRhena Palmrain.
Ainsi, la maison TriRhena est devenue en juillet 2007 le siège du nouvel Eurodistrict, qui partage le bâtiment avec l’Infobest Palmrain, instance transfrontalière d’information et de conseil et le Conseil Regio TriRhena, créé pour fédérer les collectivités du triangle Bâle-Freiburg-Colmar et les trois associations « Regio ».
Le projet Maison TriRhena Palmrain s’est composé de deux axes :
1) réalisation d’un audit sur l’avenir de la coopération transfrontalière dans la RegioTriRhena. L’étude a été présentée le 12 juin 2006 à Lörrach lors d’une présentation associant un très large public dont la presse ;
2) acquisition d’équipements nécessaires au fonctionnement du nouvel ensemble (80 casques de traduction multicanaux et 2 micros / émetteurs, modernisation des équipements téléphoniques et matériel nécessaire pour la mise en place future d’un standard commun).Le 26 janvier 2007, l’Agglomération Trinationale de Bâle (ATB) est officiellement devenue l’Eurodistrict Trinational de Bâle (ETB). Cette évolution institutionnelle s’est accompagnée d’un processus de rapprochement des structures ayant pour périmètre l’agglomération bâloise, intitulé Maison TriRhena Palmrain.
Ainsi, la maison TriRhena est devenue en juillet 2007 le siège du nouvel Eurodistrict, qui partage le bâtiment avec l’Infobest Palmrain, instance transfrontalière d’information et de conseil et le Conseil Regio TriRhena, créé pour fédérer les collectivités du triangle Bâle-Freiburg-Colmar et les trois associations « Regio ».
Le projet Maison TriRhena Palmrain s’est composé de deux axes :
1) réalisation d’un audit sur l’avenir de la coopération transfrontalière dans la RegioTriRhena. L’étude a été présentée le 12 juin 2006 à Lörrach lors d’une présentation associant un très large public dont la presse ;
2) acquisition d’équipements nécessaires au fonctionnement du nouvel ensemble (80 casques de traduction multicanaux et 2 micros / émetteurs, modernisation des équipements téléphoniques et matériel nécessaire pour la mise en place future d’un standard commun).
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Dépérissement forestier en vallée du Rhin
Publié par Adipso le samedi 13 décembre 2025

Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.Le projet consistait en la recherche des causes de la dégradation de l’état de santé des chênes des deux côtés du Rhin. Les résultats devaient aboutir à l’élaboration de recommandations pour les gestionnaires forestiers. Après harmonisation des résultats de recherche, l’étude commune devait permettre d’une part, d’accroître les zones d’expérience et d’autre part, de ne pas mener de façon isolée les recherches nécessaires.
37 études ont été réalisées, concernant 16 thèmes (au lieu de 12 initialement prévus) dans les domaines suivants : inventaire et analyse de l’environnement naturel ; mesure du phénomène ; recherche des causes et mécanismes ; adaptation de la gestion forestière. 23.450 ha de forêt ont été étudiés par photo-interprétation aérienne, 2.938 arbres ont été suivis annuellement. L’obtention de données comparables a parfois été difficile. Un colloque scientifique a présenté les résultats en 1999.
26 publications et 20 rapports, ainsi que 5 guides de sylviculture, ont été édités. Par contre, seul 1 catalogue détaillant les stations forestières a été réalisé, au lieu de 5 prévus. La nécessité de traduire les concepts techniques a rendu difficile l’édition de rapports bilingues. Le projet a duré 5 ans, et non pas 3 comme prévu. Des économies ont pu être obtenues grâce à la réalisation de certaines études directement par le personnel de l’ONF. En même temps, la complexité de certaines études a entraîné des coûts imprévus. De même, les coûts de publication avaient été sous-estimés.
Malgré la diversité des structures des deux partenaires, la coopération a bien fonctionné. Les données existantes seront mieux utilisées dans le futur, les observations sur la durée vont être poursuivies. La poursuite de la coopération a été envisagée à l’issue du projet.
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Extension de l’Euro-Institut
Publié par Adipso le samedi 13 décembre 2025

Ce projet visait l’amélioration des stratégies et des instruments de la coopération transfrontalière, notamment des acteurs publics, à travers la formation adaptée, la recherche développement et le conseil. Les domaines sur lesquels devaient porter les actions de formation et de recherche étaient les suivants : politiques publiques (environnement, aménagement du territoire… ) mais aussi cadre institutionnel (structures administratives… ).
Bien que la mise en commun des données existantes dans le domaine de la coopération transfrontalière des organismes publics n’ait pu être réalisée, l’objectif général d’amélioration de la coopération transfrontalière des administrations publiques a été atteint :
– le nombre de journées de formation fut plus élevé que prévu
– de nombreux agents de la fonction publique française et allemande y ont participé.
– En ce qui concerne les thèmes décidés à l’avance, les objectifs ont été dépassés
– De plus, de nouveaux thèmes ont pu être abordés.
En outre, des études sur l’amélioration de la coopération transfrontalière ont été menées et publiées. L’évaluation des projets a permis d’élaborer des méthodes et documents pédagogiques sur la coopération transfrontalière. Enfin, l’Euro-institut a réussi à mettre en place un réseau transfrontalier de chercheurs, de praticiens de l’administration et de décideurs publics.Ce projet visait l’amélioration des stratégies et des instruments de la coopération transfrontalière, notamment des acteurs publics, à travers la formation adaptée, la recherche développement et le conseil. Les domaines sur lesquels devaient porter les actions de formation et de recherche étaient les suivants : politiques publiques (environnement, aménagement du territoire… ) mais aussi cadre institutionnel (structures administratives… ).
Bien que la mise en commun des données existantes dans le domaine de la coopération transfrontalière des organismes publics n’ait pu être réalisée, l’objectif général d’amélioration de la coopération transfrontalière des administrations publiques a été atteint :
– le nombre de journées de formation fut plus élevé que prévu
– de nombreux agents de la fonction publique française et allemande y ont participé.
– En ce qui concerne les thèmes décidés à l’avance, les objectifs ont été dépassés
– De plus, de nouveaux thèmes ont pu être abordés.
En outre, des études sur l’amélioration de la coopération transfrontalière ont été menées et publiées. L’évaluation des projets a permis d’élaborer des méthodes et documents pédagogiques sur la coopération transfrontalière. Enfin, l’Euro-institut a réussi à mettre en place un réseau transfrontalier de chercheurs, de praticiens de l’administration et de décideurs publics.Ce projet visait l’amélioration des stratégies et des instruments de la coopération transfrontalière, notamment des acteurs publics, à travers la formation adaptée, la recherche développement et le conseil. Les domaines sur lesquels devaient porter les actions de formation et de recherche étaient les suivants : politiques publiques (environnement, aménagement du territoire… ) mais aussi cadre institutionnel (structures administratives… ).
Bien que la mise en commun des données existantes dans le domaine de la coopération transfrontalière des organismes publics n’ait pu être réalisée, l’objectif général d’amélioration de la coopération transfrontalière des administrations publiques a été atteint :
– le nombre de journées de formation fut plus élevé que prévu
– de nombreux agents de la fonction publique française et allemande y ont participé.
– En ce qui concerne les thèmes décidés à l’avance, les objectifs ont été dépassés
– De plus, de nouveaux thèmes ont pu être abordés.
En outre, des études sur l’amélioration de la coopération transfrontalière ont été menées et publiées. L’évaluation des projets a permis d’élaborer des méthodes et documents pédagogiques sur la coopération transfrontalière. Enfin, l’Euro-institut a réussi à mettre en place un réseau transfrontalier de chercheurs, de praticiens de l’administration et de décideurs publics.Ce projet visait l’amélioration des stratégies et des instruments de la coopération transfrontalière, notamment des acteurs publics, à travers la formation adaptée, la recherche développement et le conseil. Les domaines sur lesquels devaient porter les actions de formation et de recherche étaient les suivants : politiques publiques (environnement, aménagement du territoire… ) mais aussi cadre institutionnel (structures administratives… ).
Bien que la mise en commun des données existantes dans le domaine de la coopération transfrontalière des organismes publics n’ait pu être réalisée, l’objectif général d’amélioration de la coopération transfrontalière des administrations publiques a été atteint :
– le nombre de journées de formation fut plus élevé que prévu
– de nombreux agents de la fonction publique française et allemande y ont participé.
– En ce qui concerne les thèmes décidés à l’avance, les objectifs ont été dépassés
– De plus, de nouveaux thèmes ont pu être abordés.
En outre, des études sur l’amélioration de la coopération transfrontalière ont été menées et publiées. L’évaluation des projets a permis d’élaborer des méthodes et documents pédagogiques sur la coopération transfrontalière. Enfin, l’Euro-institut a réussi à mettre en place un réseau transfrontalier de chercheurs, de praticiens de l’administration et de décideurs publics.Ce projet visait l’amélioration des stratégies et des instruments de la coopération transfrontalière, notamment des acteurs publics, à travers la formation adaptée, la recherche développement et le conseil. Les domaines sur lesquels devaient porter les actions de formation et de recherche étaient les suivants : politiques publiques (environnement, aménagement du territoire… ) mais aussi cadre institutionnel (structures administratives… ).
Bien que la mise en commun des données existantes dans le domaine de la coopération transfrontalière des organismes publics n’ait pu être réalisée, l’objectif général d’amélioration de la coopération transfrontalière des administrations publiques a été atteint :
– le nombre de journées de formation fut plus élevé que prévu
– de nombreux agents de la fonction publique française et allemande y ont participé.
– En ce qui concerne les thèmes décidés à l’avance, les objectifs ont été dépassés
– De plus, de nouveaux thèmes ont pu être abordés.
En outre, des études sur l’amélioration de la coopération transfrontalière ont été menées et publiées. L’évaluation des projets a permis d’élaborer des méthodes et documents pédagogiques sur la coopération transfrontalière. Enfin, l’Euro-institut a réussi à mettre en place un réseau transfrontalier de chercheurs, de praticiens de l’administration et de décideurs publics.Ce projet visait l’amélioration des stratégies et des instruments de la coopération transfrontalière, notamment des acteurs publics, à travers la formation adaptée, la recherche développement et le conseil. Les domaines sur lesquels devaient porter les actions de formation et de recherche étaient les suivants : politiques publiques (environnement, aménagement du territoire… ) mais aussi cadre institutionnel (structures administratives… ).
Bien que la mise en commun des données existantes dans le domaine de la coopération transfrontalière des organismes publics n’ait pu être réalisée, l’objectif général d’amélioration de la coopération transfrontalière des administrations publiques a été atteint :
– le nombre de journées de formation fut plus élevé que prévu
– de nombreux agents de la fonction publique française et allemande y ont participé.
– En ce qui concerne les thèmes décidés à l’avance, les objectifs ont été dépassés
– De plus, de nouveaux thèmes ont pu être abordés.
En outre, des études sur l’amélioration de la coopération transfrontalière ont été menées et publiées. L’évaluation des projets a permis d’élaborer des méthodes et documents pédagogiques sur la coopération transfrontalière. Enfin, l’Euro-institut a réussi à mettre en place un réseau transfrontalier de chercheurs, de praticiens de l’administration et de décideurs publics.Ce projet visait l’amélioration des stratégies et des instruments de la coopération transfrontalière, notamment des acteurs publics, à travers la formation adaptée, la recherche développement et le conseil. Les domaines sur lesquels devaient porter les actions de formation et de recherche étaient les suivants : politiques publiques (environnement, aménagement du territoire… ) mais aussi cadre institutionnel (structures administratives… ).
Bien que la mise en commun des données existantes dans le domaine de la coopération transfrontalière des organismes publics n’ait pu être réalisée, l’objectif général d’amélioration de la coopération transfrontalière des administrations publiques a été atteint :
– le nombre de journées de formation fut plus élevé que prévu
– de nombreux agents de la fonction publique française et allemande y ont participé.
– En ce qui concerne les thèmes décidés à l’avance, les objectifs ont été dépassés
– De plus, de nouveaux thèmes ont pu être abordés.
En outre, des études sur l’amélioration de la coopération transfrontalière ont été menées et publiées. L’évaluation des projets a permis d’élaborer des méthodes et documents pédagogiques sur la coopération transfrontalière. Enfin, l’Euro-institut a réussi à mettre en place un réseau transfrontalier de chercheurs, de praticiens de l’administration et de décideurs publics.Ce projet visait l’amélioration des stratégies et des instruments de la coopération transfrontalière, notamment des acteurs publics, à travers la formation adaptée, la recherche développement et le conseil. Les domaines sur lesquels devaient porter les actions de formation et de recherche étaient les suivants : politiques publiques (environnement, aménagement du territoire… ) mais aussi cadre institutionnel (structures administratives… ).
Bien que la mise en commun des données existantes dans le domaine de la coopération transfrontalière des organismes publics n’ait pu être réalisée, l’objectif général d’amélioration de la coopération transfrontalière des administrations publiques a été atteint :
– le nombre de journées de formation fut plus élevé que prévu
– de nombreux agents de la fonction publique française et allemande y ont participé.
– En ce qui concerne les thèmes décidés à l’avance, les objectifs ont été dépassés
– De plus, de nouveaux thèmes ont pu être abordés.
En outre, des études sur l’amélioration de la coopération transfrontalière ont été menées et publiées. L’évaluation des projets a permis d’élaborer des méthodes et documents pédagogiques sur la coopération transfrontalière. Enfin, l’Euro-institut a réussi à mettre en place un réseau transfrontalier de chercheurs, de praticiens de l’administration et de décideurs publics.Ce projet visait l’amélioration des stratégies et des instruments de la coopération transfrontalière, notamment des acteurs publics, à travers la formation adaptée, la recherche développement et le conseil. Les domaines sur lesquels devaient porter les actions de formation et de recherche étaient les suivants : politiques publiques (environnement, aménagement du territoire… ) mais aussi cadre institutionnel (structures administratives… ).
Bien que la mise en commun des données existantes dans le domaine de la coopération transfrontalière des organismes publics n’ait pu être réalisée, l’objectif général d’amélioration de la coopération transfrontalière des administrations publiques a été atteint :
– le nombre de journées de formation fut plus élevé que prévu
– de nombreux agents de la fonction publique française et allemande y ont participé.
– En ce qui concerne les thèmes décidés à l’avance, les objectifs ont été dépassés
– De plus, de nouveaux thèmes ont pu être abordés.
En outre, des études sur l’amélioration de la coopération transfrontalière ont été menées et publiées. L’évaluation des projets a permis d’élaborer des méthodes et documents pédagogiques sur la coopération transfrontalière. Enfin, l’Euro-institut a réussi à mettre en place un réseau transfrontalier de chercheurs, de praticiens de l’administration et de décideurs publics.
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INFOBEST Palmrain
Publié par Adipso le samedi 13 décembre 2025

Le projet consistait en la poursuite des activités de l’instance d’information et de conseil pour les particuliers, les collectivités, les associations et les entreprises pour toutes les questions relatives à la coopération transfrontalière pour l’espace du Rhin supérieur Centre Sud.
Les résultats de l’activité de l’instance INFOBEST ont été conformes aux objectifs fixés pour le projet. Près de 10 000 demandes ont été enregistrées. Les demandes concernaient majoritairement la vie professionnelle et l’entreprise.
Considéré comme « la vitrine de la Regio », l’INFOBEST a constitué un pont entre les différents acteurs transfrontaliers en fournissant des informations sur le pays voisin. Les administrations ont souvent eu recours aux services de l’INFOBEST. D’ailleurs des rencontres entre les services administratifs des trois pays ont été organisées afin de tendre par exemple à une harmonisation des procédures administratives. En outre, l’INFOBEST a mis à disposition du grand public une bibliothèque riche en documentation.
L’INFOBEST a coopéré avec de nombreuses structures européennes et transfrontalières afin de répondre le mieux possible aux différentes questions.
Image : Infobest Palmrain
Source : www.infobest.eu
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INFOBEST Kehl / Strasbourg
Publié par Adipso le samedi 13 décembre 2025

Ce projet visait l’amélioration des services de l’INFOBEST Kehl/Strasbourg.
L’INFOBEST s’occupe de l’accueil, du conseil et de l’information des usagers. L’équipe en place est bilingue et connaît bien le tissu socio-économique de cette région frontalière commune ainsi que l’organisation, les compétences et le fonctionnement des administrations et services publics du pays voisin.
L’instance intervient à raison d’environ 3.500 demandes par an en aidant à la résolution de problèmes à dimension transfrontalière et remplit également une fonction importante de relais avec les administrations compétentes du pays voisin.
Durant le projet, l’INFOBEST a joué un rôle de plus en plus important dans la consolidation des relations transfrontalières décentralisées en soutenant des initiatives locales. De nombreuses rencontres entre des spécialistes français et allemands ont eu lieu dans les locaux de l’INFOBEST. Cette dernière dispose également d’une bibliothèque riche en ouvrages concernant la coopération transfrontalière.
Image : Villa Rhefus, Kehl, Infobest Strasbourg-Kehl
Source : www.infobest.eu
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Institut européen de recherche en réhabilitation cardiologique
Publié par Adipso le samedi 13 décembre 2025

Dans le cadre de ce projet a été menée une étude comparative des méthodes de diagnostic et thérapeutiques françaises, allemandes et suisses dans le domaine de la cardiologie. Ce projet s’entendait comme la première phase de la création ultérieure d’un institut européen de recherche en réhabilitation cardiologique.
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Infobest Palmrain
Publié par Adipso le samedi 13 décembre 2025

Ce projet a conduit à la création de l’INFOBEST Palmrain en 1993, instance d’information et de conseil sur les questions transfrontalières franco-germano-suisses. Depuis son inauguration, l’INFOBEST répond aux demandes émanant aussi bien des particuliers et des entreprises que des collectivités locales. Le cas échéant, l’instance sert également de relais vers les services concernés de part et d’autre des frontières.
Cette structure trinationale est située sur d’anciens locaux douaniers au point de convergence de la France, de l’Allemagne et de la Suisse. Elle fait partie du réseau des 4 Infobests, actif sur l’ensemble du territoire du Rhin Supérieur.
Image : Infobest Palmrain
Source : www.infobest.eu
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Infobest Strasbourg-Kehl
Publié par Adipso le samedi 13 décembre 2025

Ce projet a conduit à la création de l’INFOBEST Strasbourg-Kehl en 1993, instance d’information et de conseil sur les questions transfrontalières. Depuis son inauguration, l’INFOBEST répond aux demandes émanant aussi bien des particuliers et des entreprises que des collectivités locales. Le cas échéant, l’instance sert également de relais vers les services concernés de part et d’autre des frontières.
Située aujourd’hui dans la Villa Rhefus, siège de l‘Euroinstitut, cette structure fait partie du réseau des 4 Infobests, actifs sur l’ensemble du territoire du Rhin Supérieur.
Image : Villa Rhefus, Kehl, Infobest Strasbourg-Kehl
Source : www.infobest.eu
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